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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 12:17

Lancaster Sun Care

Suite à un rendez-vous pro hier chez Coty, je me suis dit qu’il était temps de vous parler d’un coup de cœur que j’ai eu il y a quelques années et dont j’use et abuse dès que le soleil chauffe un peu. Avis aux peaux délicates et ultra-sensibles qui ne supportent pas les crèmes solaires : j’ai la solution qu’il vous faut. Il ne s’agit pas des produits Avène, Vichy et autres estampillés “hypoallergéniques pour peaux sensibles et tout le blabla”. Non, il s’agit des produits Lancaster qui ont une gamme complète pour le soleil.

Testés et approuvés par une fille qui faisait des allergies à toutes les crèmes (des plus basiques aux plus chères), voici mes chouchous :

  • pour le visage, le soin indice 50 (non, ce n’est pas réservé aux enfants). A noter : pas encore testé, mais le Sun Sport SPF 50 visage est dispo…
  • pour le décolleté, on peut passer au 30, même si le 50 reste recommandé.
  • pour les sportives (et les barboteuses) : toute la gamme Sun Sport, avec une petit préférence pour la brume express résistante à l’eau. Mais attention : en prévoir deux flacons en cas de vacances prolongées, parce que ça part vite.
  • pour les peaux déjà hâlées ou les expositions tôt le matin ou lorsque le soleil décline : le Fast Tan Optimizer en indice 15 (on n’est jamais trop prudent). Son léger voile irisé en fait un produit protection et beauté.
  • pour celles qui veulent prévenir les signes de l’âge : Sun Age Control, avec un produit spécifique yeux et lèvres.
  • pour garder son bronzage et optimiser la couleur : l’après-soleil visage et le soin corps Tan maximiser sont des musts

Lancaster Sun SportLes textures sont légères, à tel point que même les hommes ne rechignent pas à se tartiner (si ça c’est pas une preuve !). Pas de parfum. Et des indices de protection qui s’adressent à tous les types de peau. Je précise toutefois qu’en brunette qui bronze plutôt facilement, je suis fidèle à l’indice 50 et qu’à la fin des vacances je ne suis pas moins bronzée que mes copines qui utilisent des écrans 30, voire inférieurs sur le visage. Et au risque de passer pour une vieille pie, je vous rappelle que vous n’avez qu’une peau et qu’une protection insuffisante vous mènera tout droit vers le lifting à 40 ans (bon, ok, j’exagère un peu, mais pas tant que ça, en fait…).

Evidemment, la technicité et le confort ont un prix, mais, pour des soins version luxe et efficacité, Lancaster reste dans un excellent rapport qualité/prix.

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 12:09

Alerte écarlateUn titre qui pourrait faire sourire, si la réalité n’était pas là : des enfants tués, des militaires assassinés devant leur base, une bombe devant l’ambassade d’Indonésie à Paris… Le soleil a beau briller (pour une fois que le printemps est au rendez-vous), le temps n’est pas à la balade. Ou alors si : ailleurs, loin…

Alerte écarlate… Ca me fait penser à La lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne… Une consonance littéraire un brin romantique pour un phénomène suffisamment exceptionnel dans son atrocité pour qu’on se demande quelle sera la suite.

Des mères de famille apeurées qui hésitent à emmener leurs enfants à l’école, la communauté juive en émoi, les autorités sous pression, la population sous le choc, une campagne présidentielle entre parenthèses (pour combien de temps ?)… Le question se pose, fatalement : et après ?

D’autres assassinats, d’autres bombes, 1995 nous revient en mémoire. Ne plus prendre le métro, fuir les grands magasins et les lieux à haute fréquentation, préférer les petites rues aux grandes artères… Une paranoïa qui risque de toucher le plus grand nombre. Parce qu’il faut bien admettre que, jusque-là, l’horreur se passait à Toulouse. Inutile de s’alarmer pour les parisiens bien tranquilles :  pas de tueur fou près de chez vous. Mais voilà : une bombe et tout est remis en question.

Alerte écarlate… C’aurait pu être un code amoureux, c’est l’annonce d’une tragédie qui se profile.

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 18:59

Les infidèlesAh, Les infidèles, le duo de choc Gilles Lellouche et Jean Dujardin. deux mecs qu’on aimerait bien avoir comme potes, histoire de passer des soirées mémorables à pleurer de rire. De la bonne humeur à revendre, de l’humour à foison, des barres de rire à se partager… Alors quand ils s’associent pour nous pondre un film dont le titre et les affiches (qui ont fait scandale) nous mettent l’eau à la bouche, on fonce les yeux fermés et…

… et parfois on se dit malheureusement qu’on aurait pu les garder fermés, les yeux. Parce qu’il est gentil, ce film (enfin, ces films…). On s’attend à du bouillant, on se retrouve avec du tiédasse. Pas vraiment à la hauteur de ces deux talents. Alors oui, leur final fait son petit effet (quel pied d’entendre les deux racailles du fond de la salle qui avaient passé leur temps à faire des commentaires s’offusquer de “c’est dégueulasse"), mais on en aurait voulu plus. Plus de trash, plus de provoc’, plus de salace, plus de tout, quoi !

On passe quand même un bon moment, mais… il y a des longueurs… Des moments qui s’essoufflent… Des plats… Quand on connaît ces deux-là, on aurait plutôt pensé à des étincelles. C’est dommage…

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 12:54

MendianteTous les matins, je croise une femme sans âge : elle pourrait avoir 45 ans comme elle pourrait en avoir 65. Chaque jour, je la vois assise par terre à quelques pas du bureau. Je sors du métro pour aller bosser ou au contraire j’ai fini ma journée et je rentre chez moi ; elle, est toujours là. Je me plains de la pluie, du froid… Mais, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, elle reste stoïque, engoncée dans des vêtements sans forme, avec son fichu sur la tête, souriante, toujours, mais d’un sourire triste qui en dit long. Alors que moi, le froid ou la pluie, je ne les subis qu’entre le métro et le bureau…

Pendant quelque temps, je ne l’ai plus vue. Partie ailleurs ? Sous un climat plus favorable ? Non, car elle a refait son apparition. Et chaque matin, chaque soir, je la recroise.

Des personnes comme ça, il y en a des tas. On ne les voit pas toujours. Parfois on les remarque grâce à un petit chien qui nous fait de la peine. Pourquoi avoir plus de peine pour un chien ? Parce qu’il n’a pas demandé à être là ? La femme du coin de la rue l’a-t-elle demandé, elle ?

Alors on essaie d’éviter leur regard, de changer de trottoir, pour ne pas avoir à croiser leur regard. J’ai choisi une autre option : lui dire bonjour chaque matin, bonsoir chaque fin de journée. Mais la vérité est que je redoute cet échange. Comme beaucoup.

Parce que finalement, tous ces hommes et ces femmes que nous voyons dans la rue, avec leurs paquets, leurs sacs, leur tristesse, ne font que nous renvoyer inexorablement à la dure réalité : nous vivons dans un monde qui va mal et leur sort pourrait bien être le nôtre demain, après-demain, dans six mois, dans un an…

Faire des études, avoir un diplôme, un travail, un peu d’argent de côté, cela ne nous met plus à l’abri. Demain, nous ne pourrons plus habiter Paris (c’est déjà le cas de nombreux jeunes adultes qui, pourtant, ont la chance d’être en CDI), mais nous continuerons d’y travailler. Demain, nous ne pourrons plus boucler nos fins de mois. Nous ne pourrons plus acheter des fruits et légumes frais. Nous ne pourrons plus assumer nos dépenses. Nous demanderons à nos parents et finirons par retourner vivre chez eux pour “faire des économies”.

Alors évidemment, ce n’est pas pour demain-demain, mais pour demain-plus tard. Un court délai pour se retourner, chercher des solutions. Accumuler les jobs (un vrai pour la journée au bureau, un autre en freelance le soir et le weekend pour ceux qui le peuvent, histoire de sortir la tête de l’eau).

SDFA l’heure où seuls 10% des français gagnent plus de 3000 euros par mois, comment se fait-il que ces mêmes 10% ne voient pas l’avenir d’un bon œil ? Qui, alors, pourra encore vivre à Paris ? L’immobilier continue sa montée et seuls les étrangers peuvent encore investir. A quand une loi pour favoriser les achats par des français (au sens large, SVP) qui habitent et travaillent ici, et voudraient pouvoir rester alors que des appartements restent vides 350 jours par an quand leurs propriétaires ne sont pas en vacances dans la ville lumière ?

On nous parle impôts sur les riches, mais cela ne fait que détourner l’attention du vrai problème. 3000 euros aujourd’hui, c’est la richesse pour certains, mais au final cela ne suffit pas à vivre à Paris. Les vingtenaires ont du souci à se faire, les trentenaires s’en font déjà. Et chaque jour ils croisent ces SDF qui leur rappellent que demain ce sera peut-être leur tour…

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 11:17

StylistpickLes beauty box cartonnent depuis déjà quelques mois. Les petites culottes qui arrivent dans la boîte aux lettres aussi. C’est maintenant au tour des chaussures de voler tous les mois vers les fashionistas compulsives. Attention, il va falloir faire de la place dans votre dressing si vous ne voulez pas vous retrouver noyée sous les boîtes à chaussures. L’invasion est proche et vous allez adorer !

Le concept est on ne peut plus simple : vous vous inscrivez sur Stylistpick (le choix du styliste) et chaque mois on vous propose une sélection de chaussures, sacs et bijoux. Cette sélection semi-personnalisée aura été réalisée par des spécialistes (journalistes, stylistes…) en fonction de votre profil (non, vous n’échapperez pas au questionnaire). Vous aimez ? Vous choisissez votre modèle à prix unique (39,95 euros) et il arrivera chez vous quelques jours plus tard. Vous n’êtes pas séduite ? Joker, et on en reste là pour ce mois-ci.

Comme en Angleterre (pays d’origine de Stylistpick), il y aura un système d’abonnement, mais celui-ci ne sera pas obligatoire. En revanche, il donnera quelques avantages (bons de réduction, frais de livraison réduits, retours gratuits…).

Au final, c’est l’occasion de renouveler votre stock de chaussures régulièrement sans vous casser la tête. Vous avez (presque) un personal shopper qui vous mâche le travail, ce qui est déjà, pour certaines, une épine de moins dans le pied (c’est dans la thématique). Bon, et puis il faut bien l’avouer : on adore recevoir des paquets !

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21 février 2012 2 21 /02 /février /2012 16:10

Allez, aujourd’hui, c’est girly.

Et je vais faire a pub – encore – d’une marque qui me tient tellement à cœur que j’ai réussi à être la toute première cliente de la toute nouvelle boutique Kiehl’s sise rue du Commerce à Paris (au 88, si vous cherchez). Bref, ouverture jeudi dernier, et moi qui me pointe alors que la mise en place n’est pas terminée. Mais je voulais être la première, je le voulais vraiment, et là… j’ai réussi.

Kiehl's Midnight Recovery EyesCoup de bol, un conseiller rien que pour moi qui me fait un petit bilan de peau avant de m’ouvrir tous les testeurs (ben voui : z’étaient fermés puisque la boutique n’avait pas encore ouvert). Et là… moi qui pensais rester fidèle à mon contour des yeux Clinique (All About Eyes, ça veut tout dire), je me suis laissé tenter par le Midnight Recovery Eyes de Kiehl’s qui sent bon les huiles essentielles (lavande en tête).

Deux raisons à cela. La première : un contour des yeux c’est traître. Parce que pendant la nuit, le système lymphatique se met au repos et que la circulation ralentit. Donc le super contour des yeux riche et confortable dans la journée engorge tout le système lymphatique. Bonjour les poches le matin. Deuxième raison : un contour des yeux spécifique pour la nuit (donc qui, a priori, évite les effets secondaires sus-mentionnés) qui sent bon, je suis fan ! Et puis la lavande, c’est bien connu, ça favorise le sommeil. Midnight Recovery Eyes : le premier contour de l’œil qui te fait dormir !

Verdict : testé et approuvé !

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 16:19

Petite discussion en famille la semaine dernière sur le thème des féminins/masculins dans la langue française. Et, visiblement, il y a des lacunes.

  • Masculin femininQuel est le féminin d’homme ?
    • Femme
  • Quel est le féminin d’époux ?
    • Epouse
  • Et quel est le féminin de mari ?
    • euh… ben oui, c’est bien ça : bonniche !!!

 

Ca devrait plaire aux chiennes de garde, ça, tiens. Vous allez voir que je vais me faire aboyer dessus, taxer de vieille chouette rétrograde, j’en passe et des meilleures. Mais le fait est que non, le féminin de mari n’existe pas. En même temps, vous conviendrez que mari c’est bien moins joli qu’époux… Je milite pour le retour aux jolis mots, à la séduction épistolaire, aux termes désuets et si foutrement romantiques !

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 16:31

C'est la Saint-ValentinMardi prochain, on remet ça : les amoureux seront obligés de l’être, les autres resteront sur le carreaux. Non pas que le Vichy soit de mise (on serait plutôt dans l’imprimé cœurs), mais voilà : comme chaque année, les couples seront à l’honneur, les célibataires devront brandir l’étendard de leur liberté qui tout d’un coup prendra le poids d’une croix difficile à porter. Saint-Valentin is in da place !

Quel joyeux drille, ce Valentin ! Toujours là pour nous rappeler que l’avenir, c’est le couple. Le présent aussi d’ailleurs, mais vous pouvez oublier le passé : il est trop tard. Valentin, c’est le gars propulsé saint par l’église pour donner une excuse au batifolage sans procréation obligatoire une fois par an. Une espèce d’opportuniste qui a le beau rôle : il fait appel à la nature humaine et lui donne l’autorisation (un peu en vous forçant la main tout de même) de céder à ses pulsions sans craindre les flammes de l’enfer. Finaud d’avoir utilisé une faille religieuse. Il la mérite, son auréole !

Revenons à nos cœurs par milliers

Pas d’amoureux ? Pas grave, donnez le change en vous en payant un sur Facebook. Si le service existe déjà pour ces messieurs, il y a fort à parier que les demoiselles en marge de leurs copines / sœurs / cousines / etc. opteront pour cette solution simple : se payer un amoureux histoire de traverser l’orage. Et puis, c’est pratique, Facebook : un clic et tout le monde est au courant. Au mouroir les réflexions tendancieuses et accusatrices (comme si on le faisait exprès) !

Mardi 14 février, vous êtes priés de vous joindre à tous les amoureux pas rassurés pour la grand-messe annuelle des cœurs perdus mais plus à prendre. Un collège d’esprits communiant dans l’amour de l’autre (sic !). On dirait une secte. Entrez en religion et rejoignez les saints amoureux. Imaginez un peu cette orgie d’amour pur et chaste (oui, on a dit “saints”). Tout bonnement démoniaque !

Et si vous ne pouvez rejoindre le mouvement avec votre moitié (parce que non, malgré tous les conseils bien intentionnés qu’on a pu vous prodiguer, vous n’en avez pas), il ne vous reste qu’à trouver vos tiers, quarts ou cinquièmes. C’est l’alternative “girly” de cette édition 2012. Chez MyLittleParis, on vous propose de gagner un tea time de luxe pour deux dans un grand hôtel. Alléchant pour les couples (il)légitimes. Et si on n’a pas d’amoureux ? Pas de souci : les parias n’ont pas leur place ici et vous pouvez venir entre copines. C’est l’effet Valentines+++.

Et là, je vais faire plaisir à tous mes copains : l’amour entre filles, y a qu’ça d’vrai !

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:18

Le début de la finQuel retard pris dans mes billets ! Mea culpa, je vais tenter d’y remédier au plus vite en vous faisant part d’un bon plan. Vous aimez le théâtre mais privilégiez les comédies ? Vous avez envie de passer un bon moment sans vous éterniser ou risquer de vous assoupir en pleine représentation ? Alors Le début de la fin est la pièce qu’il vous faut.

A l’affiche, le tandem Richard Berry / Jonathan Lambert (si, si, celui de chez Ruquier).

Le pitch : Alain voit sa femme vieillir un peu plus chaque jour. Cela serait normal si elle n’avait pas 35 ans et qu’il ne la voyait pas déjà comme une retraitée. A ses yeux, c’est bien simple : elle vieillit sept fois plus vite que lui. Tombé amoureux d’une autre, il réussit à convaincre Hervé, l’un de ses employés un peu… neuneu… de séduire Nathalie pendant que lui batifolera avec sa nouvelle conquête. Un peu désemparé au départ, Hervé tombe rapidement sous le charme de la femme de son patron, mais…

Une comédie enlevée, un duo percutant, un jeu d’acteur bien rôdé… Tous les ingrédients sont réunis pour faire de cette pièce une véritable réussite. Et le succès semble être au rendez-vous avec une salle comble chaque soir. On s’amuse des quiproquos engendrés par la situation et on se laisse porter par ce théâtre de boulevard sans prétention mais plein d’entrain.

 

Au Théâtre des Variétés jusqu’au 4 mars 2012

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 18:32

Les infidèles… Tout un programme pour le nouveau film de Jean Dujardin et Gilles Lellouche. Des hommes mariés qui passent leur temps à sauter de la gazelle, ça promet quelques belles barres de rire. Evidemment, pour appâter le spectateur, il fallait des affiches qui en jettent. Des affiches un brin provoc’ (mais bon, dans une société où un site de rencontres extra-conjugales fait sa pub sur les murs du métro, on peut envisager que l’humour ne devienne pas tabou) qui font soupçonner un film à l’humour grinçant.

Ces belles affiches, on les a vues. Puis plus. Tu m’vois, tu m’vois plus !

Les infideles

Raison invoquée : une image dégradante des femmes présentées comme des objets.

Une polémique qui enfle et suscite des réactions variées comme, par exemple, la théorie du buzz organisé de Mediapart qui n’apparaît pas si tirée par les cheveux (bien que l’éventualité d’une affiche alternative déjà prête ne soit pas si surprenante). En effet, rien de tel qu’un petit buzz de pré-sortie pour booster les entrées dès l’arrivée en salles d’un film : on le fait pour des produits de consommation, alors pourquoi pas pour des films.

Toujours est-il que cette polémique soulève un problème de notre époque : en ne pouvant pas rire de tout, nous ne pouvons plus rire de rien.

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