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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 01:20

Et voilà, après des vacances (loooongues, les vacances) bien méritées et un éloignement relatif du monde digital, me revoilà prête à reprendre une activité normale (si tant est qu’on puisse qualifier de normale une activité revenant à évoluer sur les réseaux sociaux). Et c’est avec un réel plaisir que je débute cette rentrée, non pas littéraire mais plutôt tardive par un petit plaisir des yeux pour mes comparses féminines qui sauront, je n’en doute pas, profiter du spectacle.

C’est Contrex (votre partenaire minceur, rien que ça) qui revient avec l’édition 2012 de MaContrexpérience. Et là, attention les yeux : on voit du vrai mâle, en chair et en os. Caliente !

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 15:59

Les vacances arrivent, mais oui, elles arrivent même à grands pas, et avec elle le soleil, enfin ! Du soleil dont on va profiter pour retrouver des couleurs et travailler le bronzage qui nous manque sévèrement en ce moment. Aaah, le soleil…

Ouuuuh, le soleil..!

Oui, parce qu’avec lui réapparaissent les tâches. Celles qui avaient disparu (enfin… un peu) avec la mine blafarde reviennent en force dès les premiers rayons, histoire de nous punir par là où nous avons pêché (amen !). Haro sur les teint frais et lumineux : les amas de mélanine sont là pour nous rappeler que “le soleil, c’est mal”.

Les femmes enceintes le savent.

Les baroudeurs le savent.

Les profs de ski aussi.

Et alors, on fait quoi ? Ben… On traite. A longueur d’année. Avec un sérum anti-tâches. Testé et approuvé par me, myself and I, le sérum Even Better Clinical est le premier à avoir fait son apparition. Et les résultats m’ont convaincue. Suffisamment pour l’utiliser non-stop depuis sa sortie (ce qui n’est déjà pas si mal). Au fil des semaines, les tâches s’estompent, voire disparaissent. Toutes les tâches ? Non, je vous rassure : pas les tâches de rousseur.

Posologie du concentré miracle : matin et soir sur peau fraîchement nettoyée. Et en plus ça fonctionne aussi pour les mâles. Sans parfum, avec une texture ultra-légère et pas collante, ils ne le sentiront même pas passer. Et en été, alors ? En été, on ne lâche rien et on poursuit le traitement, quitte à ne pas rentrer avec le bronzage aussi dark qu’à l’habitude (de toute façon, trop de bronzage en ville, c’est d’un vulgaire..!).

Seul petit hic : le prix. Mais quand on aime…

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 13:38

Le short… C’est un peu le pendant city du maillot de bain. Le truc qu’on voudrait porter mais qu’on n’ose pas, because les kilos en trop, la cellulite, les jambes blanches… Sauf que cette année toutes les rédactrices de mode se sont passé le mot, complices avec des créateurs à tendance misogyne, pour nous convaincre que c’est LA pièce qu’il faut avoir dans son vestiaire été 2012. Soit…

On porte donc le short en ville. Un short qu’on ne porterait pas à la plage, soit dit en passant, pour éviter l’écueil trop souvent vu sur les adolescentes du short en jean effiloché avec un bout de fesse qui dépasse. Celui-là, merci de le garder pour la plage, ici o n’en veut pas. Bon, ok, je suis rassurée. Mais un short reste un short, qu’il soit de ville ou de plage, et franchir le pas à Paris, il faut oser.

Combishort MajeOui, parce que même s’il n’est pas ultra-court, le short a quand même l’inconvénient (quand il ne ressemble pas à une jupe-culotte – et on parle bien ici de short et non de jupe-culotte) de dévoiler une bonne partie de la cuisse, zone à haut potentiel problématique. Et même quand on en trouve un pas si court que ça, que de face il vous donne l’impression d’être une bombe, attention les yeux, le côté pile est généralement annonciateur d’un retour sur terre en mode accéléré.

Tout à coup le short n’apparaît plus comme une option envisageable, mais plutôt comme la tenue à fuir à toutes jambes, des fois qu’on essaierait de nous en coller un sur le fessier de force. Ou alors il faut penser sérieusement à changer les éclairages des boutiques, en espérant que la lumière du jour ne fait pas le même effet…

C’est dommage : elle était bien jolie cette petite combi-short Maje… (notez que ce n’est pas celle sur laquelle j’ai craqué, mais je n’ai pas trouvé de photo de la coupable : une petite combi-short très soirée, avec des zip aux épaules)

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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 16:53

Ligne 9Ca faisait un bout de temps que je n’avais pas poussé un bon petit coup de gueule. Et bien voilà : je m’y remets. A l’heure où le temps est déréglé (y a plus de saison, ma bonne dame), où la couche d’ozone par en c…, où on nous serine qu’il faut é-co-no-mi-ser l’énergie (fonctionne aussi avec économiser l’eau, moins consommer, protéger les espèces menacées…ajoutez ce qui vous passe par la tête), l y a quelques hérésies qui subsistent.

Alors oui, en hiver, je mets le chauffage. Je ne suis pas de celles qui se couvrent de dix épaisseurs pour vivre dans une pièce à 18°C. Ecolo, oui, retour à l’âge de pierre, non. Idem pour la bains : j’en prends, mais avec modération (oui, comme pour l’alcool. Modération est le nouveau meilleur ami du politically correct). Idem pour la voiture, etc.

Donc on nous demande de faire des efforts.

MAIS A QUOI CA SERT QUAND DANS LE METRO ON VOUS MET LE CHAUFFAGE QUAND IL FAIT 25°C ???

Parce qu’hier soir, après une belle et chaude journée passée en petite robe à bretelles, j’ai eu le bonheur de trouver une place assise dans le métro. Le bonheur..? Pas si vite, papillon… Il y avait baleine sous gravillon : autant de places libres avec tout ce monde debout, j’aurais dû me méfier… A peine assise, j’ai senti sur mes jambes le souffle brûlant… des radiateurs du métro. Ne voyez là rien de sulfureux, sauf peut-être dans son sens le plus primaire et désagréable : asphyxiant, étouffant, suffoquant (je suis à cours d’adjectifs, là).

La RATP, donc, qui nous augmente sans cesse le prix des titres de transports (deux fois dans l’année, cette fois-ci, quand même, il faut le noter), finance le réchauffement climatique à grand renfort de chauffage en plein mois de juin quand il fait 25°C (la nuit, je précise, hein, parce que dans la journée c’était 30, alors les rames avaient bien eu le temps de monter en température => CQFD). Déjà que nombre de déodorants lâchent en pleine journée sans aide extérieure, imaginez le carnage quand on leur donne des raisons de le faire…

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 18:31

Dépression hors saisonA dire vrai, même l’iPhone a peur de me donner les tendances météo des prochains jours : elles sont si mauvaises qu’il refuse tout bonnement de se mettre à jour sur Paris. Demandez-lui Rome, là, tout va bien, mais Paris, non : mise à jour impossible. Il faut dire qu’il doit craindre de passer (au choix) par la fenêtre / à la poubelle / sous un camion, dans un geste d’ultime désespoir de ma part. Ou comment ne pas accepter l’inacceptable

Nous sommes donc le 19 juin, il fait moins de 20°C et dans deux jours ce sera l’été. Welcome to another dimension. L’année où l’été a disparu… Ca pourrait être le titre d’un roman. Tiens, puisqu’on peut dire adieu aux apéros en terrasse, je m’en vais l’écrire, ça occupera sainement mes soirées pluvieuses…

Un temps à ne pas mettre un ouistiti dehors. D’ailleurs, les ouistitis ne s’y sont pas trompés : vous en voyez beaucoup dans les rues, vous ? Non, c’est bien ce que je pensais. En revanche, des gens gris, tristes, qui font la gueule rapport au temps maussade (et oui : on s’adapte), ça il y en a à foison. Tout ça va réjouir l’industrie pharmaceutique : je suis certaine que les ventes d’antidépresseurs ont largement augmenté depuis trois mois.

A vrai dire, même les shoppeuses les plus assidues semblent avoir jeté l’éponge. Les boutiques sont vides, et les soldes s’annoncent sous les meilleurs auspices : cette fois-ci, il restera de tout, dans toutes les tailles, dans toutes les couleurs. Ca va brader sévère dans les chaumières (euh, enfin dans les magasins, mais ça rimait moins bien).

Du coup, le programme de la fête de la musique risque d’être légèrement perturbé. Out les balades dans les rues au gré des cacophonies ambiantes, bonjour le bar de quartier toutes fenêtres fermées ou le coin de cheminée (vraiment, j’exagère..?). Imaginez tous ces groupes qui vont se donner un mal de chien, qui ont répété toute l’année et qui vont se retrouver à jouer devant tante Clothilde et cousin Valérien. Pas gai, tout ça.

Nous voilà donc doomed (l’expression anglophone est tellement plus parlante que notre “condamnés”) à ruminer sous la pluie, à broyer du noir sous les nuages (de même couleur) et à ne pouvoir que se réjouir à l’avance des vacances qui approchent. Ah, vous ne partez pas ? Condoléances

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 16:22

Gwen Stefani, chanteuse charismatique du groupe No Doubt , désormais célèbre fashionista aux looks souvent décriés par la planète mode, qui n’hésite pas à jouer à la poupée avec son fils surlooké, a aussi bien réussi en sa carrière solo (même si on ne l’entend plus trop).

Son premier single, punchy à souhait, où elle n’hésite pas à jouer à Alice au pays des merveilles en se rappelant que le temps passe vite et qu’il sera bientôt trop tard pour ne pas être vieille, est un véritable vaccin contre la déprime. What You Waiting For s’offre un clip à la hauteur de la chanson avec un univers complètement barré qui fait plaisir à voir. Enjoy!

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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 17:19

Paris sous la pluieDepuis le temps que ça dure, on devrait avoir fini par s’y habituer : il pleut. Comme hier, comme avant-hier, comme demain et après-demain aussi. Hier, on m’annonçait que Météo France prévoyait ça pour rien de moins que les douze prochains jours. 12 !!! Alors, les nappes phréatiques asséchées, c’est bien gentil, mais va falloir penser à pas trop abuser non plus. Depuis début avril où on a péniblement eu droit à 10 pauvres jours de soleil, one ne va pas me la faire : elle se sont bien renflouées, les nappes phréatiques. Limite elles déborderaient que ça ne m’étonnerait pas, tiens !

Toujours est-il que la parisienne ne sait plus où donner de la tête (et de la jupe / robe / tenue d’été qui, de toute façon, restent dans le placard). Chaque matin, c’est pareil : on espère que Miss Météo (quelle que soit la chaîne) se sera plantée dans les grandes largeurs et que le soleil sera au rendez-vous. Ne rêvez pas : il n’y a pas plus mauvais rencard. Frivole, il  fait de l’inconstance un mode de vie et ne se pointera jamais quand on a envie de le voir (c’est bien un mec !).

Nous voilà donc réduites, pauvres fashionizers que la mode n’a pas dressées à s’habiller en October-style au mois de juin, à hésiter des heures devant notre placard, incapables de savoir quoi mettre. Des minutes, que dis-je, des heures de perdues à se lamenter à base de “j’ai rien à me mettre”. Et pour cause : les sandales survivent mal au climat breton, surtout à Paname (surtout si ce ne sont pas des méduses).

Pour palier au trop-plein d’humidité, voici le B.A.-BA, ou comment survivre en milieu aquatique parisien :

  1. La jupe courte tu oublieras : c’est le printemps, la semaine prochaine l’été fera son apparition, mais ne te leurre pas, les saisons ne veulent plus rien dire, Ginette, alors enfile un jean, c’est plus secure. Et pour tuer la polémique dans l’œuf : non, on ne porte pas de collants en juin !
  2. Le jupon au fond du placard tu laisseras : c’est joli, un jupon, ça tiendrait presque chaud en cas de grand coup de vent, oui, mais ça traîne par terre, aussi, et quand ça passe par une flaque, ça donne vite l’impression que tu sors d’une poubelle.
  3. Converse Japan Limited edition June 2010Tongs et sandales tu regarderas mais ne mettras pas : à moins d’avoir envie de glisser dedans à chaque pas, et de pouvoir dire au sens propre '”je nage dedans” because elles seront pleines d’eau, tu leurs préfèreras une bonne paire de Converse. Ca va avec tout, les Converse, et ça a le mérite d’être étanche (qualité non négligeable par le temps qui court). Après, tu peux aussi te faire rapporter des éditions limitées du Japon (cf. photo)…
  4. Dans ton sac le chapeau de pluie du planqueras : parce qu’un parapluie, une fois sur deux, tu l’oublies. Au café, au restau, dans une boutique (quoique, avec ce temps, le shopping n’est pas ta priorité), dans le métro… Alors que ton chapeau de pluie, il sera toujours là, prêt à être dégainé à la moindre averse (et Dieu sait qu’il y en aura). Bon, j’avoue : pour écouter ta musique, ça implique de lâcher ton casque pour revenir aux écouteurs avec son pourrave.
  5. Bon, maintenant que tu as la panoplie, tu n’as plus qu’à te diriger dans des endroits au sec. Au choix : salle de ciné (ça tombe bien, c’est bientôt sa fête – au cinéma), théâtre (tu pourras faire semblant de te cultiver), musée (idem), bar à cocktails (ça réchauffe), boîte de nuit (ça aussi).

Avec un peu de bol, le temps d’assimiler tout ça, le soleil sera revenu et on pourra recommencer à parler tongs et crème solaire.

Photo de la Tour Eiffel : Christophe Jacrot

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 15:30

Merci Facebook, merci les copines qui partagent des images drôles, en voici une qui n’a pas manqué de me faire sourire et d’égayer ma pitoyable journée au bureau. Pitoyable parce que les giboulées en juin ça commence à faire long et un peu trop décalé pour moi. Pitoyable parce que quand il fait quasiment nuit à 15h, on a plus envie d’aller se lover sur son canapé, enroulée dans un plaid que de rester rivée à son écran. Vous me direz : quand il fait grand soleil, on a plus envie de se coller en terrasse, comme quoi c’est à se demander s’il y a vraiment un temps pour travailler

Toute à mes réflexions sur la météo idéale pour augmenter la productivité au bureau (je dois pouvoir vous pondre une étude là-dessus, mais seulement au bord d’une piscine en sirotant un cocktail, rapport au besoin d’inspiration et de recul par rapport à la problématique), je suis tombée nez à nez avec ça :

Dyslexia

Allez, souriez, vous êtes filmés (si, si, regardez bien votre webcam : elle s’est activée)

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 18:35

Souvenez-vous : pour certains, c’est “la musique du café”. Pour d’autres, un tube de l’été chanté par une blonde incendiaire à la voix un peu éraillée. Sam Brown n’aura fait qu’un succès, mais quel succès ! Son Stop a résonné aux oreilles de bon nombre d’amoureux transis et d’éternels romantiques en mal d’amour.

Un petit saut en 1988, année de la sortie de Stop.

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 11:46

The Dark ShadowsVous faites le pont et vous ne savez pas comment occuper cette belle journée bien fraîche sous les nuages ? Pas de problème : j’ai la solution. Plutôt que de rêver à une superbe plage ensoleillée alors que vous êtes dans la grisaille de Paname, filez vous réchauffer dans une salle obscure (pour peu qu’ils n’aient pas décidé petit.d e vous y coller la clim’) et vengez-vous en allant voir le dernier Tim Burton, plus perché que jamais.

Tim Burton, on le sait, à l’instar d’Obélix, est tombé dedans quand il était petit. Dans quoi, ça, on se le demande encore, mais si vous trouvez, j’en prendrai une double dose, merci. Après avoir pondu des contes de morts (les contes de fées, c’est tellement rébarbatif), puis revisité Alice au pays des merveilles, le voici qui se penche sur le cas des vampires. Tout un programme !

Le pitch : Barnabas Collins est l’héritier d’une famille maudite. Maudite par la femme de chambre, un tantinet sorcière sur les bords (et au milieu aussi), amoureuse de lui (Barnabas, hein), qui va finir par le transformer en vampire après s’être débarrassée de tous ceux qui les séparaient (étant entendu que son cœur appartenait à une autre). Furieuse, elle le fit enfermer vivant (notion relative pour un vampire) dans un cercueil, puis enterré. Jusqu’à ce jour où des ouvriers le déterrèrent, en plein milieux des années flower power, et où Barnabas Collins fit son retour au sein d’une famille un brin… particulière…

Verdict : du grand, très grand, Tim Burton. Entretien avec un vampire meets Austin Powers sur fond de rock old school. Le film est porté par un casting de rêve : on retrouve l’acteur fétiche de Burton, Johnny Depp, parfait en revenant d’un autre âge, Michelle Pfeiffer, sublime en chef de clan, et Eva Green magnifique en sorcière amoureuse.

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