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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 11:57

Une blonde incendiaire, mannequin lingerie, Rhian Sugden de son petit nom, qui se caresse l’entrejambe en petite tenue (comprendre : porte-jarretelles et lingerie sexy), qu’est-ce que ça donne ? Aha… je vous vois d’ici, pervers que vous êtes, en train de fantasmer sur cette image et vous imaginer face à la bombasse atomique qui vous fera baver tel le loup de Tex Avery. A vous de voir, mais à votre place je regarderais la vidéo jusqu’au bout.

Aye, caramba ! Vous ne vous y attendiez pas, à celle-là !

Et voilà comment on sensibilise les hommes au dépistage du cancer des testicules. Parce que pour les nanas, c’est plus simple : les visites régulières chez le gynéco sont un premier pas, le second étant d’apprendre à se tripoter les seins pour trouver (ou pas, c’est mieux) quelque chose de suspect. Je vois d’ici les pervers de tout à l’heure qui s’imaginent désormais les femmes de leur entourage en train de se caresser la poitrine. Vous êtes incorrigibles..!

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 13:05

Gleeden

Cela fait déjà quelque temps que je voulais vous parler de Gleeden. Mais voilà : on a beau vouloir traiter un sujet, on oublie, on passe à autre chose, on trouve plus intéressant, bref on zappe.

Alors voilà : Gleeden. Baseline : le premier site de rencontres pour personnes mariées. Ma foi… Ce matin, dans le métro, j’ai même lu que c’était un site “pensé par des femmes”. Mazette, il ne manquait plus que ça ! Un site de rencontres adultères pensé par des desperate housewives qui n’ont pas la chance d’avoir un beau jardinier sous la main. Fallait y penser !

Je vous éviterai toute morale moralisatrice (oui, aujourd’hui, je donne dans la surenchère), mais quand même… Avec des pubs en 4 par 3 dans le métro expliquant que, par principe, on ne vous offre pas de carte de fidélité, que tout le monde peut se tromper, surtout aujourd’hui et que c’est parfois en restant fidèle qu’on se trompe le plus, bonjour le message !

Non, parce que chacun fait comme il veut, mais de là à l’étaler sur la place publique, avec un lancement en grandes pompes relayé par la presse, il y a une marge. Imaginez un peu qu’un site de rencontres libertines ait fait sa promo en de telles proportions… Je vous laisse évaluer le bordel : associations chrétiennes qui s’offusquent (d’ailleurs, que pensent-elles de Gleeden ? Tiens, c’est une bonne question, ça), les maris jaloux qui pistent leur femme (et vice versa), les soupçons qui se multiplient (ben oui, maintenant c’est tellement plus facile)…

Au-delà de cette simple perspective de boxon généralisé, on peut également se demander quel est le schéma familial transmis au travers de la mise en avant d’un site de ce type. Je reprends : chacun fait ce qu’il veut (je donne donc dans la surenchère ascendant répétition), mais de là à le crier sur les toits… Voit-on les sites de rencontres libertines dans la presse (hors spécialisée, of course) et sur les murs du métro ? Non. Pourquoi ? Parce que ça dépend de la sphère privée. De même qu’on ne vante pas le fétichisme et autres pratiques particulières.

Alors pourquoi un tel engouement pour Gleeden ? S’agit-il de “faire moderne” en s’affranchissant de quelques bastions tels que le couple fait pour durer, la fidélité maritale et l’image du couple happily ever after ? Quoiqu’il en soit, Gleeden ouvre la porte à des sites d’un genre nouveau. Après “trouvez l’âme sœur”, “trouvez votre homme marié de la semaine”. Un petit jeux (presque) sans conséquences…

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 18:56

Génération connectéeLa génération numérique, on lui en prête des caractéristiques diverses et variées : plus connectée, câblée 2.0 dès la naissance avec option évolutive au fil des années, dissipée, multitâche, avec des outils numériques greffés en série… Un article de Slate publié aujourd’hui y fait référence en réponse à Now You See It, un manifeste de Cathy N. Davidson, professeur d’études interdisciplinaires (euh… quelqu’un pourrait m’éclairer ?).

Bref, pour vous résumer l’affaire, Cathy (on va faire court là aussi) pense que les jeunes sont l’avenir des vieux (jusque-là, a priori, pas d’inexactitude), mais elle pousse le vice jusqu’à prétendre que les jeunes auront toujours une longueur d’avance et qu’un jour “les stagiaires superviseront leurs patrons” (cf. Slate). La génération web grandit avec le “tout à portée de main”, la technologie lui est intuitive et il n’est pas question d’essayer de comprendre, ça nous prendrait trop de temps (à nous autres, vieux nés avant 1980). Après quelques recherches effectuées sur ce tout nouvel instrument que je découvre à peine, grabataire que je suis, nommé Google, il apparaît que la Cathy en question vénère une génération qui, de ses propres mots, la dépasserait largement et la propulserait volontiers en maison de retraite.

Mais alors, Cathy, que dirais-tu de toute cette génération précédente nourrie aux premiers jeux vidéo, adaptable à souhait, qui manie aussi bien le clavier qu’un bon vieux stylo, sait encore tourner les pages d’un bouquin (un vrai, hein, avec de l’encre et du papier), et maîtrise la plupart des nouveaux jouets technologiques dont le mode d’utilisation leur semble à peu près aussi naturel que de faire du vélo ?

Visiblement, cette génération étant née avant la date fatale – 1980, tout va bien – elle n’entre pas en ligne de compte. C’est pourtant bien elle qui a fait les premiers sites webs sympas sans même avoir suivi de formation(si mes souvenirs sont bons, j’ai mis en ligne mon premier site en 2000, voui, Madame !), qui a fait le succès des jeux électroniques Nintendo (vous vous souvenez de ces petits écrans qu’on trimballait partout ? Les naufragés de l’île déserte, Snoopy, Donkey Kong…) et joué à la Vectrex… Et oui, la Vectrex, moi, Madame, j’ai connu et je peux donc clamer haut et fort que je fus l’une des premières à avoir une vraie console de jeux à la maison (et pas un Amstrad – quoique, je l’ai eu aussi).

Cette même génération, donc, se distingue entre accros aux nouvelles technologies et… euh… ben… les autres. Et prouve bien que ce n’est pas une question de génération. Car, même si cela peut encore paraître incroyable, il y a encore des djeun’s aujourd’hui qui ne sont pas plus connectés qu’on ne l’était à leur âge via courrier (toute proportion gardée, bien évidemment). Certes, Facebook a révolutionné les usages, et la lettre qui prenait jadis trois jours à arriver est ainsi délivrée en l’espace de quelques secondes à n’importe quel endroit de la planète. Nouvelles technologies : 1 point. Ok… Mais moi aussi j’envoie des mails et j’utilise Facebook. Alors, quoi ? Elle est où la différence transgénérationnelle ?

L’article de Slate fait référence à cette capacité de multitâcher (j’aurais bien aussi inventé “multitasquer” pour un anglicisme plus approprié, quoiqu’il eût fallu que j’opte pour l’utilisation du ‘k’, ce que je n’avais pas envie de faire ce soir) que tout un chacun aurait durant l’enfance et perdrait quelque part entre l’adolescence et l’âge adulte. Mouais, mouais, mouais. Ben alors je dois être sacrément immature, parce qu’à 34 ans je peux écrire un article en écoutant la dernière mix tape de Magician, tout en réfléchissant à une stratégie pour un client et en évaluant à distance le contenu de mon frigo pour déterminer s’il va falloir que je passe ou non au Daily Monop’ après le sport. Alors, je ne suis pas über-câblée 3.0, peut-être ?

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 18:40

R.I.P. DJ Mehdi. L’un des piliers de la French touch est passé au travers d’un toit en plexi nous dit-on. On lui doit notamment le merveilleux Breakaway et le non moins estimable Pocket Piano, parmi tant d’autres. DJ Mehdi s’est éteint mais ses morceaux restent. Farewell…

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 19:59

Et si j’écrivais un article pour faire exploser le nombre de visites sur mon blog ? Comment devrais-je m’y prendre pour drainer du trafic sur un blog de fille qui ne s’adresse pas qu’aux filles, un blog pour geeks qui parle de mode et de sorties (non, ce n’est pas compatible), où on disserte réseaux sociaux et chiffons ? Pas évident, justement parce qu’un tel blog serait voué à l’échec (ben oui : il faut seg-men-ter !).

Alors on va suivre les dix commandements de base et les trafiquer un peu, histoire de les adapter (vaguement), et voir ce qui se passe…

1. Des mots-clés tu abuseras. Oui, mais pas n’importe lesquels. Concrètement, personne n’en a rien à faire de la perceuse du voisin. Non, ce qui intéresse les gens aujourd’hui, ce sont les termes suivants:

AbsoluteTrendsetter1

- buzz

- e-réputation

- référencement

- stratégie

- audience

- réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Klout, Foursquare, Google+…) et messageries (Hotmail, Gmail)

- élections présidentielles

- 2012 (par extension)

- mode

- tendance

- trendsetter

- infuenceur

- tendanceur

- iPhone

- iPad

- Apple

- 2.0 et 3.0

- Lady Gaga

- Justin Bieber (sic !)

- sexe et tous ses dérivés (ne faites pas comme si vous ne vous en doutiez pas, je sais très bien quels sites vous visitez au bureau) , donc fellation, sodomie, partouze, rencontres libertines, sex toys, porno…

Allez, on va s’arrêter là.

Ce qui pourrait donner, en somme, l’article suivant :

En cette rentrée 2011, le web est le rendez-vous des technophiles et des néophytes. Les smartphones (iPhone en tête, alors qu’on attend avec impatience la sortie de l’iPhone 5) et les tablettes (est-il utile de rappeler le succès de l’iPad, et depuis peu de l’iPad 2 ?) permettent de rester connecté en permanence : au bureau, à la maison, dans la rue, dans le métro, dans son bain (pour le côté porno chic). Et c’est là que vont vous cueillir les pros de la communication et marketeurs 2.0 (bientôt, la version 3.0 en rayon).

Regardez la vérité en face : aucun de vos déplacements virtuels n’est anonyme : on vous piste, on vous cookie-ise, on vous piste, on vous scanne, on vous profile et on vous spamme. Pas moyen de regarder un site de voyages sans vous retrouver avec des pubs sur le côté de votre fenêtre Hotmail ou Gmail. Vous jetez un œil sur un site de vente en ligne pour trouver une paire de chaussures ? Idem. Vous serez traqué jusqu’au bout. Les dernières tendances s’invitent dans votre navigateur et la mode se démocratise (même cousine Cunégonde risque de s’afficher avec LA robe que vous avez repérée en boutique. La boutique, elle n’y a pas accès, du fin fond de son bled paumé, mais Place des tendances, si !).

Et que dire de votre vie de tous les jours, celle que vous pensez partager avec vos amis les plus proches (environ 250 sur Facebook, 100 sur Twitter, un peu moins sur Klout – pas encore assez répandu ) ? Vous êtes fier d’avoir obtenu dix mayorships sur Foursquare ? Réfléchissez plutôt au fait que vos moindres déplacements sont fliqués – et avec votre accord en plus ! – et que chacun sait que non, vous n’étiez pas au bureau cet après-midi puisque vous avez fait un check-in chez Colette. Ca vous apprendre à vous la jouer  sans établir de connexions entre vos neurones avant ! “Les réseaux sociaux sont les mouchards du web” => CQFD

Pourtant, on les utilise volontiers pour rester au courant de ce qui se passe dans le reste du monde (ou tout du moins du sien). On suit les comptes Twitter importants : Lady Gaga, Justin Bieber, Elle (bible de la mode), Vogue (autre bible de la mode), grands pontes de la e-réputation, du buzz et des réseaux sociaux (1FLUdigital, MyCommunityManager, Presse Citron, Loïc le Meur…), Rue89 (un peu d’actu ne fait pas de mal), et j’en passe !

On passe par les réseaux sociaux pour contrôler sa e-réputation et son influence via Klout qui sert avant tout à flatter l’égo puisque toutes nos actions ne sont pas prises en compte. Mais voilà : on veut faire le buzz. Le quart d’heure de célébrité façon Warhol traîne en longueur et c’est à qui tiendra le plus longtemps sur les réseaux en intéressant ses followers. On poste des conneries sur Facebook et on laisse des commentaires partout. Ca donne l’impression d’avoir des amis. D’ailleurs, on est friend avec tous les gens à qui on a dit bonjour une fois dans la vraie vie. C’est dire si notre life a de l’importance (j’en connais qui vont chercher les amis de leurs amis, vus une ou deux fois mais avec qui, bien entendu, ils sont super amis maintenant. D’ailleurs, ils ne se parleront jamais, mais ça fait bien d’avoir des amis, sinon t’es un asocial du web). Influenceur de son propre réseau, on a tout intérêt à ce qu’il soit vaste, pour être un plus grand influenceur encore (sic ! – again).

Donc grâce à une page Facebook, un profil Twitter ou un blog, on s’autoproclame tendanceur, trendsetter, voire visionnaire même si on n’a jamais mis les pieds dans une boutique, repéré les looks de demain et qu’on choisit systématiquement la serpillère informe qu’on a prise pour LE pull du siècle. N’est pourtant pas Tavi qui veut et devenir gourou de la mode n’est pas donné à tout le monde !

Ceux qui ne percent pas dans les tendances ou se croient investis d’une mission bien plus importante que toutes ces foutaises de gonzesse se tournent vers la politique. Ah, la politique…Ca tombe bien : on approche des présidentielles. 2012 is in da place ! Et comme il faut bien décrypter l’état des choses pour les pauvres abrutis que sont les internautes, chacun y va de son analyse. Là encore, foin d’expertise, chacun place son grain de sel en se prétendant apte à communiquer et développer des idées que, finalement, seuls trois péquins adopteront faute de compréhension globale. C’est beau, le web !

D’un autre côté, les candidats ont bien pigé que les élections passeront par Twitter, Facebook et les blogs. Leurs conseillers en communication ont donc intégré ces composants dans leur stratégie et font des réseaux sociaux leur nouveau fer de lance : aujourd’hui, la politique devient digitale. Amen !

Bref, aujourd’hui si tu veux faire de l’audience, il faut commencer par repérer les mots-clés les plus demandés, surfer sur la vague de l’actu et les distiller autant que possible, quitte à donner dans la répétition. Le but du jeu étant non pas de donner un contenu intéressant et réfléchi, mais bien d’attirer les visiteurs. Et s’ils ne reviennent pas, faute de contenu approprié ? Pas grave : d’autres les remplaceront. Qu’est-ce que je disais, moi, déjà ? Ah oui : c’est beau, le web !

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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 12:05

Que ne ferait pas Google pour ses afficionados ? Et ses nombreuses utilisatrices à qui, vraisemblablement, il manque quelque chose…

Une petite vidéo humoristique circule depuis le 30 août sur le web. Conçue par America Young, la vidéo met en scène une employée de Big G expliquant que la firme a su créer le boyfriend idéal : celui qui vous écoute, qui retient ce que vous lui dites, qui mémorise votre emploi du temps et les occasions à ne pas manquer (anniversaires, pendaisons de crémaillère, baby showers…), trouve vos clés quand vous les cherchez désespérément, celui qui devance vos désirs parce qu’il sait tout, mais absolument TOUT de vous

Le boyfriend idéal, dites-vous ? Hum, regardons cela de plus près…

Alors que MyLittleParis nous parle de l’homme à croquer pour se consoler du vilain méchant qui vient de nous larguer, G-Male apparaît comme le mâle ultime (ou pas). Mais, parmi les commentaires de la vidéo, cette question cruciale : G-Male saura-t-il trouver le G-Spot (point G) ?

Affaire suivre…

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 12:00

Ciré rouge Tara JarmonAïe ! Quand le métro remplace le vélo et qu’on se rend de la rue de Grenelle (oui, dangereuse, la rue de Grenelle, il y a Stuart Weitzman, heureusement, à 20h passées, la boutique est fermée) au café Mabillon, on passe immanquablement devant quelques vitrines, et pas des moins intéressantes.

Donc hier soir j’ai pu poursuivre ma wishlist avec un autre coup de cœur de la saison (qui n’attendre pas qu’il fasse 0°C, celui-là) : le ciré rouge Tara Jarmon (ou, plus précisément, Mademoiselle Tara – seconde ligne de la marque, plus accessible, aux jolies silhouettes féminines à grands renforts de cloches sur la tête et ça aussi, ça me plaît !).

Le ciré et moi, c’est une longue histoire qui remonte au lycée. A l’époque, on m’appelait BB. Pas pour ma moue boudeuse, encore moins pour mes longs cheveux blonds, mais parce que je me baladais fièrement avec un chouette ciré noir qui détonnait un peu au milieu des blousons Chevignon. Que voulez-vous, on a du style, ou on n’en a pas, et moi je ne suis pas vraiment du genre à suivre la mode comme un mouton de Panurge.

Bref, c’est avec délice que j’ai entraperçu cette pièce cerise hier au détour de la rue Dufour. Même pas en vitrine, non, sur un portant (c’est vous dire si j’ai l’œil aiguisé !). Parce qu’en vitrine, il est en moutarde, et tout de suite ça me parle moins. On en reparlera, d’ailleurs, de la couleur moutarde… Parce que c’est nécessaire !

Bref, le rêve à un coût, celui-ci est de 370 €. Je crois que je vais commencer une collecte de fonds

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 19:16

KloutKlout”, les communiquants n’ont plus que ce mot-là à la bouche : ranking, influence, domaine(s) d’influence… Klout, c’est l’outil ultime de notoriété sur les réseaux, ou comment vous noter sur vos tweets, vos posts Facebook et vos photos…

Retour sur le principe pour les non-initiés.

Klout demande qu’on s’y inscrive via son compte Facebook son compte Twitter, ou mieux : les deux ! Et bien entendu, Klout a accès à tous vos contenus sur ces deux réseaux, histoire d’évaluer l’influence que vous avez sur vos amis / connaissances / suiveurs… En résumé : ouvrir ses comptes à Klout pour s’assurer que tout sera bien pris en compte. Mieux : les blogspot et tumblr ou encore LinkedIn y passent également. Cerise sur le gâteau, sauf pour les blogueurs ayant choisi d’autres plates-formes (ben oui, qui utilise Wordpress ou Over-Blog, enfin !).

Le but de Klout ? Officiellement, permettre de repérer les influenceurs les plus importants. Utile pour des marques, des sociétés, des RP souhaitant faire faire un test produit, les publicitaires, les community managers (qui devraient, eux aussi, avoir un bon ranking, en toute logique). Officieusement, Klout est plutôt un traqueur social qui valorise l’ego de tout ce petit monde en l’enjoignant à participer d’autant plus sur les réseaux sociaux afin d’obtenir un meilleur score.

Allons plus loin. Dans quelle mesure Klout va-t-il être utilisé afin de juger des compétences des professionnels de la communication ? Tel community manager est dépassé par son voisin ? On vire le premier, on embauche le second. Vous cherchez un stagiaire ? Passons les études et les expériences : combien a-t-il sur Klout ? Afficher son ranking Klout deviendrait alors le passeport pour l’embauche. Inquiétant.

Car bien entendu, de nombreux acteurs sociaux ont plusieurs comptes : un perso, un pro, un sous pseudo… De même pour les blogueurs qui ne divulguent pas systématiquement leur identité. Dès lors, comment revendiquer son influence si elle n’apparaît pas officiellement ? Et à l’inverse : comment juger une personne sur ses simples interactions avec d’autres inconnus, interactions qui peuvent se limiter à “très chouette, ton article” ou “merci pour le retweet”. C’est ce qu’on appelle de l’influence !

Pourtant, Klout est régulièrement présenté comme l’outil ultime pour évaluer l’influence personnelle. Soit… Alors welcome to Klout !

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 16:11

La rentrée, c’est le moment de revoir sa garde-robe, de trouver la petite robe qui va bien, la couleur qui donne du peps, la coupe qui transcende un look… C’est aussi le moment de regarder à plus de deux semaines en listant ses priorités : oui à la petite robe en maille, en revanche, les boots attendront qu’il fasse plus froid. Revue de repérage :

La folie des robes (pas besoin de se casser la tête pour trouver l’assortiment idéal le matin) :

Robe-cape Maje- La robe-cape Maje : côté style, on ne peut pas lui nier une belle première place. Encore faut-il oser la porter… Mais c’est la robe qui, sans nul doute, vous fera remarquer avec ses larges manches qui font office de cape (et oui, elles sont trompeuses). Evidemment, elle est présentée en orange, couleur ultra-tendance de la saison qui revitalise un hiver un peu tristouille et met du baume au cœur pour peu qu’on se lance. On lui associe des escarpins pour une touche féminine jusqu’au bout des shoes. 220 €Robe laine rouge Bérénice

 

- La robe-pull Bérénice : simple, classique, limite passe-partout, si ce n’est qu’on la choisit rouge (encore une couleur vive et chaude) pour réchauffer les journées grises d’hiver. Les épaules zippées et les détails aux manches sont bien vus. On regrette juste qu’elle soit en laine et pas en cashmere (ça risque de gratter un peu – à essayer pour s’en rendre compte)… A porter avec des cuissardes qui dégueulent plissent, des boots, mais surtout pas des ballerines ou des escarpins au risque de mémériser la silhouette (si, si, on en connaît qui tomberaient dans le piège). 209 €

 

Robe bimatière Tara Jarmon- La robe 60s de Tara Jarmon : baby doll en puissance, cette petite robe donne assurément un look digne des Austin Powers girls. Bimatière, affichant une large touche d’orange elle aussi, elle a un petit côté Swinging London qui donne irrésistiblement envie de danser jusqu’au bout de la nuit sur de bons vieux tubes British. Pour un effet shoolgirl au bureau, elle est idéale, et s’adaptera aussi bien à une journée de travail qu’à une afterwork endiablée. 220 €

 

On remarque : l’hiver 2011-2012 sera coloré ou ne sera pas. Plus c’est vif, plus ça attrape l’œil et mieux c’est. Alors out le noir, le gris et le marine, cette année on fait éclater sa bonne humeur sur ses fringues !

 

 

 

Côté shoes :

Stuart Weitzman Tango- Les escarpins bordeaux Stuart Weitzman : vous commencez à le savoir : j’aime Stuart Weitzman. Alors on rempile pour la saison avec l’escarpin Tango en version Fire Quasar, un très beau bordeaux. Ca permettra de réchauffer le pantalon noir ou la petite robe grise qu’on ne va quand même pas mettre à la poubelle. Le talon aurait pu être plus fin, mais celui-ci assure une démarche plus stable malgré son talon haut (légèrement compensé par un plateau). $325 (je ne suis pas encore allée voir le prix en boutique en France)

 

Emma Rabbit Ash- Les boots Ash : elles sont tout simplement magnifiques, les Emma Rabbit ! C’est LE coupe de cœur de la saison. Avec un peu de lapin, une cheville sanglée, pied bridé, un talon vertigineux (ici encore compensé en partie par un petit plateau). Ce sont sans conteste les boots de l’hiver. En revanche, pas de précipitation : on nous annonce encore 20°C pour les prochains jours, elles devraient pouvoir attendre encore un peu ! 245 €

 

Pour un premier repérage (à vélo), c’est déjà pas mal, non ?

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 15:49

Vélo à ParisEt oui, comme l’a écrit un grand auteur Facebook de mes contacts : RIP le mois d’août. C’était la philosophie du jour : les vacances sont bel et bien derrière nous, le soleil est toujours là (mais pour combien de temps ?), la routine reprend doucement sa place. Métro, boulot, dodo…

Métro ?

Non, vélo ! Autant profiter de ces 28°C pour arpenter les rues à bicyclette avant que l’hiver ne nous rattrape. Chaque matin, je passe donc devant l’Ecole militaire et sa voisine la Tour Eiffel, les Invalides, la place de la Concorde, les Tuileries, la cour du Louvre, l’Opéra… Tout ça pour en plus me faire de jolies cuisses. Que demande le peuple ?!?

Le vélo, pour les modeuses un peu à sec, c’est la meilleure option lèche-vitrine : on aperçoit les robes, les chaussures, les sacs, mais trop pressée on ne s’arrête pas, lancée sur sa monture. Juste du repérage avant craquage potentiel. Pas de bleus à la carte bleue, pas de convocation chez le banquier ahuri d’un découvert le premier du mois. C’est-y pas beau, le vélo ?

Et puis, à vélo, on se fait plein d’amis. Tenez, si je n’avais pas dû me rendre au bureau ce matin, j’aurais même rencontré l’homme de ma vie : il était brun, il était beau, il se déplaçait à vélo. Seul vice ? Il n’allait pas dans le même sens. Tout ça pour une histoire de direction..! En revanche, les ouvriers de la rue ont apprécié le fâcheux coup de vent qui a soulevé ma jupe en arrivant en bas de la rue. Et tous ces mâles qui manquent (ou pas) se prendre un poteau : “J’ai mis une culotte, alors te dévisse pas la tête comme ça pour regarder sous ma jupe : tu vas te faire mal pour rien !'”.

Bref, septembre est de retour, les esprits redescendent sur terre et reprennent leur petit train-train. On mate à tout berzingue histoire de s’assurer une présence sous la couette durant les longues soirées d’hiver. C’est la dernière ligne droite pour scorer. Vite : les sites de rencontres, les afterwork, les soirées chez des amis, les sorties à thème, les dernières de Bagatelle, les apéros improvisés, les festivals qui ne ressembleront jamais  Woodstock

Et si on repartait en vacances pour changer ?

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