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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 18:20

Il y a quelques pépites qui se baladent sur le web. Et j’ai la chance de travailler à côté d’un garçon qui les trouve (presque) toutes et me fait partager ses découvertes. Cette semaine, j’ai eu droit à une parodie bien sentie. Un mec se fait larguer et ses copains tentent de le réconforter à base de recettes de nanas piochées dans les magazines féminins.

C’est drôle, c’est piquant et… ça vous rappellera forcément quelque chose (enfin, surtout aux filles). Du “je vais te présenter des meufs” au “raconte-nous tout” en passant par la descente dans le pot de glace, tout y est ! Entre solutions de mecs et conseils “avisés”, c’est un petit délice jubilatoire.


Very Bad Blagues - Quand on se fait larguer par Palmashow
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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 18:17
Leeeet Looooove Ruuuuule..!

Leeeet Looooove Ruuuuule..!

Hier soir, pour la troisième fois, j’ai assisté à un concert de Lenny Kravitz. Et, pour la troisième fois, j’ai passé un moment exceptionnel, de ces moments qui restent gravés dans la mémoire. Blasée d’avoir “encore” vu Lenny Kravitz , Non, pas le moins du monde. L’émotion était au rendez-vous, comme il y a près de 20 ans (ça ne nous rajeunit pas, ma bonne dame). Même lieu, même heure…

Mais d’abord un petit aparté concernant Raphael Saadiq. Car si Lenny est un grand, un immense, un… (euh, y a quoi après ?) artiste, Raphael Saadiq se pose là lui aussi. Il a révolutionné la première partie (ma première première partie de Lenny Kravitz c’était Robert Plant. Légende vivante, mais… comment dire… pas pareil, quoi). Donc Raphael Saadiq… Celui-là a ce quelque chose qui fait qu’on ne peut pas ne pas le suivre, qu’on ne peut pas résister à l’appel de nos pieds, de nos hanches, de nos bras, de tout notre être qui ne demande qu’à balancer en rythme. C’est péchu, c’est punchy, c’est p….. de bien (pardonnez-moi l’expression) !

Revenons au beau Lenny. Le beau Lenny a beau avoir pris quelques années, il a une énergie qui scotche – il n’y a pas d’autre mot. Il danse, il chante, il envoie… Epaulé par des musiciens en flagrant délit de talent. Et du talent + du talent + du talent +…, ça donne une explosion scénique à en faire trembler les murs de Bercy. Avis aux porteurs de pacemakers, n’approchez pas de trop près, vous risqueriez de vous emballer à mort (ouch ! je sais, c’est de mauvais goût un peu quand même).

Lenny Kravitz est une bête de scène qui qui bascule sans crier gare du monstre sacré du rock’n’roll à un homme émouvant face à son public électrisé. Ne m’en veuillez pour cet enthousiasme débridé, mais Lenny Kravitz est une idole persistante à fort pouvoir addictif.

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 17:07

Cirque du soleilRien que le nom, ça fait rêver… Le Cirque du soleil, temple des acrobates, de la voltige et du grand spectacle. LE spectacle que j’espérais voir à Las Vegas (encore aurait-il fallu que mes petites virées dans la cité du vice ne soient pas systématiquement annulées…)… Et bien ça y est, le rêve est devenu réalité : j’ai vu le Cirque du soleil !!!

Merci la troupe européenne, merci les boulonnais d’être voisins de l’Ile Seguin (ils se reconnaîtront) : j’ai vu un spectacle qui m’a donné envie de me mettre au trapèze. Non pas que l’idée ne me soit jamais venue – je suis la reine des idées saugrenues – mais là… là… c’est encore mieux que ce que je pensais et maintenant, moi aussi je veux voler dans un lustre.

Bien que le thème de Corteo soit un peu lugubre (il s’agit tout de même d’un cortège funèbre), le spectacle est grandiose, époustouflant, parfois angoissant (mais ne vont-elles pas tomber, là-maintenant-tout de suite, enchevêtrées qu’elles sont dans les pampilles des lustres ?), toujours hypnotisant. Les décors sont impressionnants, tout autant que les performances des artistes. Un monde magique, rempli de clowns et de funambules, de chevaux un peu spéciaux et jeux d’adresse.

Les tableaux se succèdent et on ne s’ennuie pas. Moi qui n’avais pas mis les pieds au cirque depuis… depuis… euh… le Cirque d’hiver pour une présentation de collection, ça ne compte pas, hein ?

Deux représentations par jour, six jours par semaine. Allez-y vite avant que le Cirque du soleil ne plie bagages !

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 16:55

Makeup BrunchIl faut croire que c’est ma semaine girly puisqu’aujourd’hui j’ai décidé de vous faire partager un petit plan entre nanas.

Un brunch. Oui, mais alors, me direz-vous, ça n’a rien d’exceptionnel un brunch, voire c’est même presque banal. Oui, oui, oui… Sauf qu’il s’agit là d’un beauty brunch, avec au menu des jus de fruits frais, des cupcakes, des tartes salées et du makeup avec des conseils de pro à l’intérieur.

C’est organisé par GlossUp et ça se passe les dimanches de décembre à Paris.

Aux douze coups de midi, ce sera parti pour un brunch bio gourmand. Puis à 13h45, en route pour l’atelier maquillage. De quoi apprendre à poser l’eyeliner ou parfaire sa technique du smoky et passer un chouette moment entre copines.

Alors, il est pas top, ce plan ?

NB : pour les garçons, je suis certaine qu’un brunch gargantuesque au Germain vous ravira tout autant pendant que vos douces se feront belles.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 16:45

Aujourd’hui, pas de prise de tête, mais un petit sacré retour en arrière avec une émission réunissant Drucker, Cloclo et Jodie Foster. Ce jour-là, Michel Drucker a fait passer une parodie (hommage?) de Star Wars, LE film de l’année 1977 à l’antenne. Un ballet disco où des C-3PO et des Darth Vador (oui, “Darth” et non pas “Dark”) se retrouvent dans une chorégraphie… disons… assez spéciale.

On regrette cependant que Cloclo et ses Claudettes n’aient pas enchaîné sur une choré de leur cru, un mélange entre Star Wars et Le lundi ou soleil : petites jupettes et casque de l’empire.

Une initiative bien française, avec les moyens du bord et des effets spéciaux de la première heure, qui a le mérite de conserver le thème désormais mondialement connu de John Williams. Plus traditionnel, dans le style comédie musicale à l’américaine, la Starwars Disco Fever n’en est pas moins… déconcertante. Avec une musique gentillette sortie d’on ne sait où, cette vidéo qui met en scène plusieurs personnages du film (et non un quadrille de clones d’un seul et même personnage) ressemble à une interprétation qui, si elle n’était pas kitsch à souhait, serait tout bonnement ridicule.

Après réflexion, je retire le “kitsch à souhait” et ne garde que le “ridicule”. On n’a pas le droit d’écorcher Star Wars !

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 16:37

L'avareOui, c’était la semaine culturelle : en cinq jours je suis allée voir Le songe d’une nuit d’été, Guy Carlier, et maintenant L’avare à la Comédie Française. Un classique ! Et un classique dans un lieu magique, que demander de plus. Surtout quand ce n’est pas prévu. Surtout quand ça s’organise en dernière minute, un peu comme la cerise sur le gâteau d’un début de semaine réussi.

Donc L’avare

Je ne vais pas vous faire le pitch : c’est suffisamment un classique que tout le monde a étudié pour ne pas revenir dessus.

Alors je vais vous parler de la mise en scène et de l’interprétation. Topissimes ! Oui, je sais, c’est un peu creux quand on s’attaque à du Molière. Encore plus quand on parle de la Comédie Française. Pourtant, il n’y a que des superlatifs pour décrire ce moment de théâtre : génial, vraiment drôle, épatant, magique, magistral… J’arrête, vous allez finir par croire que je suis sponsorisée par le service de communication de la Comédie Française.

Si comme moi vous aimez les beaux endroits, les excellents comédiens et les sièges confortables (rare, dans un théâtre), faites-vous un petit (grand) plaisir et rendez-vous à la Comédie Française ! Une belle occasion de revoir un classique (et c’est tellement mieux qu’à l’école !)

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 18:27

Guy CarlierGuy Carlier, à une époque, c’était celui qui assassinait les invités sur le plateau de l’émission de Fogiel “On ne peut pas plaire à tout le monde”. Le “méchant”, celui qui envoyait des scuds en rafale, celui qu’on redoutait… Pourtant, si je n’ai jamais bien compris pourquoi les invités s’étonnaient d’un tel déversement à leur encontre, je le trouvais le plus souvent juste. Même si parfois il allait, peut-être, un peu loin.

Aujourd’hui, il passe de l’autre côté : c’est lui l’invité, lui qui présente son one man show, lui qui s’offre à la critique. Et bien non, Guy Carlier, je ne vais pas m’amuser à vous assassiner. Parce que ce one man show a été un réel joli moment. Parce que vous vous y dévoilez. Parce que vous êtes un grand gentil. Un grand gentil avec des failles, et comment mieux cacher ses failles qu’en attaquant pour détourner l’attention..?

Certains diront peut-être qu’il n’est pas suffisamment incisif sur scène. Certes, pour ceux-là, dites-vous simplement qu’un homme ne se résume pas à une période de sa vie, à un rôle de plateau-télé. Et Guy Carlier fait partie de ces hommes qui vous parlent de la vie, ou plutôt de la Vie avec humour, sensibilité, auto-dérision.

C’est peut-être le seul reproche que j’aurais à vous faire, Monsieur Carlier : vous n’êtes pas un homme gros, vous êtes un homme intéressant, touchant, talentueux. Et, personnellement,  ce n’est pas votre carrure que j’ai regardée durant ces fameuses trois premières minutes. Non, je vous ai écouté et j’ai regardé vos yeux. Vous n’avez certes pas vu les miens, mais si ça avait été le cas, vous auriez su que c’était l’artiste qui avait happé mon attention, pas le “gros”.

Tout ça pour vous dire (à tous) que ce one man show est touchant. Qu’il ne s’agit pas d’un requiem pour la bétaillère (allez-y, vous comprendrez), même si Guy Carlier fait mouche et s’en prend pour notre plus grand bonheur à Francis Lalanne ou Nikos. Une belle rencontre d’une heure et demie.

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 13:01

Le songe d'une nuit d'étéLe théâtre, souvent, ce n’est pas mon truc : on y est mal assis (ils n’ont donc pas compris que la nouvelle génération a des jambes ?), ça manque parfois d’action et… et quoi, d’ailleurs ?

Rien.

Et là je vais vous parler de mon dernier coup de cœur théâtre : Le songe d’une nuit d’été (ma pièce préférée de Shakespeare) avec une mise en scène de Nicolas Briançon et deux comédiens que j’aime particulièrement à savoir Mélanie Doutey et Lorànt Deutsch qui partagent l’affiche avec un casting hors normes. En effet, j’ai rarement une telle concentration de bons comédiens, un ton juste, des rôles qu’on croirait écrits sur mesure. Allez, j’arrête les fleurs, vous l’avez compris : s’il y a une pièce à ne manquer sous aucun prétexte, c’est bien celle-là !

Le pitch : pour ceux qui ne connaîtraient pas, Le songe d’une nuit d’été est un méli-mélo d’embrouilles sentimentales sur fond de Grèce Antique à la sauce féérique. Oui, alors là, je vous ai perdus. Imaginez un peu un imbroglio : trois femmes, trois hommes, un couple qui s’aime, un qui doit se marier mais elle en aime un autre qui l’aime en retour et lui est adoré d’une amie de sa fiancée. Aïe, ça ne s’arrange pas. Si maintenant j’ajoute que la reine des Fées et son amant le roi des Elfes se battent pour un jeune indien et que tous les coups sont permis surtout s’il s’agit de magie, là, vous êtes fichus.

Cette version de la pièce de Shakespeare est une prouesse d’imagination, de créativité et d’originalité. Le metteur en scène (qui assure également les rôles d’Obéron le roi des Elfes et de Thésée le duc d’Athènes) a choisi de situer l’action dans les années 70, sur fond de Chapeau melon et bottes de cuir. Robes Courrèges et musique vintage au programme, voilà du Shakespeare dépoussiéré !

Le verdict : allez-y sans attendre ! Mise en scène géniale + comédiens de talent = carton de l’année. On ne s’y ennuie pas un seul instant, on rit (également avec les comédiens qui ne peuvent visiblement s’empêcher de sourire lors de la “représentation” des artisans), on aime les références non cachées à notre époque (je doute que “bravitude” apparaisse dans la pièce originale), on aime les costumes, et par-dessus tout on aime l’ambiance générale qui règne sur cette scène deux heures durant.

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 14:23

Frédéric BeigbederHier soir, c’était Beigbeder show au Palace ! Oui, alors peut-être que dis comme ça on pourrait penser à un one-man show pas forcément transcendant… Je reprends : hier soir, le Palace, lieu mythique s’il en est, recevait Frédéric Beigbeder pour une soirée unique. Là, c’est mieux ?

Dans les faits, cette petite sauterie organisée par la Fnac, le Fnac.mix, laissait la parole à l’auteur de 99 francs pour présenter son nouvel ouvrage : Premier bilan après l’apocalypse.

Comme je n’y étais pas, je ne vais pas vous raconter ce qui s’est passé. Pourtant, la Fnac m’avait invitée. Pourtant (bis), le bureau est à deux pas du Palace et j’ai longuement hésité, en en sortant, à faire le pied de grue devant. Quelle misère ! Heureusement, le bon sens a repris le dessus.

Bref… Beigbeder.

Ou plutôt Frédéric.

Oui, parce que c’est un joli prénom, Frédéric. Et ça fait plus sympa. “Beigbeder”, on se croirait à l’armée (notez que je n’y ai jamais mis les pieds, mais ça vient d’un fond de souvenir du collège face au dragon surveillant l’un des couloirs. Une madeleine comme une autre…).

Donc, cet écrivain que j’apprécie particulièrement sort son nouvel ouvrage. Point ici d’orgies sous coke : on y parle littérature. Car nous avons ce point commun, le beau brun (si, si, et d’ailleurs l’affiche des Galeries Lafayette prouve que je ne suis pas la seule à le penser – et puis il a un grand nez, et c’est plutôt bon signe un grand nez, croyez-moi ; j’en connais même un qui voulait se le faire refaire car il trouvait le sien trop petit, mais ça c’est une autre histoire) et moi : nous aimons les livres. Ca vous en bouche un coin, n’est-ce pas ? Une bloggeuse qui aime les livres, le papier, tourner les pages… Je revendique ma double appartenance : je suis une enfant de la technologie droguée aux choses du passé (il m’arrive même d’écrire avec stylo, sur une feuille ou un cahier, c’est dire !).

Premier bilan après l'apocalypseFrédéric, donc, qui défend les livres et en parle dans…un livre ! Ca tombe bien, j’ai encore de la place dans ma bibliothèque. Et je ne peux que regretter que cette soirée n’ait pas eu lieu ce soir… ou avant-hier… Bref, un autre jour, afin que je puisse y assister. Quand un homme brillant s’exprime, j’aime l’écouter (je vous avoue même volontiers que j’ai enregistré “On n’est pas couché” samedi et que je regarder l’émission en morceaux au petit déjeuner – ça va me faire ma semaine).

Tenez : si je devais trouver les invités d’un petit déjeuner parfait (le dîner c’est d’un banal), je commencerais par Frédéric et… personne d’autre d’ailleurs, pourquoi s’encombrer..?

Reprenons : Frédéric dresse un bilan de ses 100 livres préférés. De quoi occuper les longues soirées d’hiver en (re)découvrant des ouvrages majeurs (ou pas). Certes, nous ne partageons pas la même passion pour Bukowski (que j’ai découvert grâce à lui). Je n’ai pas accroché. Fin de la discussion. En revanche, Bret Easton Ellis (qu’il classe  numéro 1 avec American Psycho)… ça me parle plus, beaucoup plus ! Et j’attends avec impatience la sélection ultra-subjective du sieur Beigbeder.

Celui-là, je ne sais pas pourquoi, mais je l’adore. Malgré un personnage souvent décrié (on appelle ça le politiquement correct : corriger tout ce qui sort du “droit chemin”), je trouve ce mec assez génial. Gamine, je craquais sur Albator, puis ce fut le tour de Jesse Mach (aha… Cherchez un peu et vous trouverez certainement. Une image au premier qui a la réponse), et maintenant c’est Frédéric. Il faut bien un côté midinette accro à une image télévisuelle à chaque fille qui se respecte. Et j’aime autant que ce soit lui plutôt qu’un de ces crétins de Secret Story ! (ça, c’est mon côté snob : je ne m’intéresse pas au bas de gamme, qu’à l’édition limitée)

Hier, je n’ai pas passé la soirée avec Frédéric (soupir)… Mais c’est promis : la prochaine fois que je le croise rue de Seine, au lieu de l’éviter, je le bouscule. Sur un malentendu…

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 19:00

Voca PeopleLes Voca People, c’est une troupe d’anonymes interchangeables dont le propre est de pouvoir se remplacer les uns les autres durant les tournées (enfin, dans la même tessiture, sinon ça ne fonctionne pas). Tous habillés de blanc des pieds à la tête (si, si, la tête aussi), ils font de leur voix un instrument étonnant.

En ce moment, les Voca People sont à Bobino où ils enchantent les soirées au rythme des standards de l’histoire de la musique. Certains diront qu’ils n’ont pris que du “facile” (comprendre “que tout le monde connaît”) tandis que d’autres seront tout simplement subjugués par ces musiciens à part. Car ils ne sont pas que chanteurs (c’est d’un commun !). Non, eux, ils sont la musique et de leur bouche sortent des sons qui leur permettent de se passer d’instruments.

Certes, l’histoire de leur petit spectacle est un brin gentillette, pour ne pas dire franchement neuneu (des extra-terrestres qui ne peuvent pas rentrer chez eux because ils n’ont plus d’énergie pour leur vaisseau, mais la vie c’est l’énergie, la musique c’est la vie… Je vous laisse deviner la suite), mais l’expérience est bel et bien là : sous vos yeux ébahis et vos oreilles enchantées.

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