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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 13:05

 

Alejandro-AlvalleJe vous avais déjà parlé d’une pub canadienne qui avait fait grand bruit en s’adressant aux femmes par le biais de beaux gosses pas très habillés. Et bien cette fois-ci, c’est Tropicana qui s’y colle pour la marque Alvalle (vous savez, le gaspacho pas mal du tout – quoique moins bon que le mien, que voulez-vous…). L’idée ? Vous êtes invité(e) à dîner chez Alejandro Alvalle, bel ibérique ténébreux qui n’a pas froid aux yeux (ni ailleurs) et qui a ce petit je-ne-sais-quoi qui vous rend toute chose…

Dès votre arrivée (sur Youtube, mais bon, laissez libre cours à votre imagination…), vous choisissez la suite : allez-vous sonner ou frapper ? Allez-vous demander à Alejandro de déboutonner sa chemise ou de lâcher ses cheveux ? Voulez-vous qu’il se rafraîchisse avec des glaçons ou de façon plus… spectaculaire..?

Evidemment, Alejandro est beau, Alejandro est super bien foutu (ben oui, il faut dire les choses comme elles sont !), Alejandro est aussi hot qu’un piment mexicain. Donc évidemment ça donne envie d’en savoir plus… Et de recommencer avec de nouvelles options une fois qu’on a goûté à sa recette qui nous emmène au pays du flamenco.

Enjoy !

http://www.youtube.com/user/AlejandroAlvalle

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 11:16

La semaine dernière, un bad buzz s’est posé sur la planète Veet. A l’origine de ce méchant coup de canif dans l’image de la marque : une campagne de communication qui a confondu attiser la curiosité des internautes avec une vidéo virale et se ridiculiser en voulant jouer sur le tableau du “tout-puissant sexe qui fait vendre”.

Alors que d’autres marques ont très bien compris qu’on n’utilise pas le sexe à tout bout de champ, encore moins de façon injustifiée, encore moins en jouant sur les mots de façon aussi niaise (cf. article d’Olivier Murat sur MyCommunityManager), Veet a cru bon de tabler sur l’amalgame minouminou, allant jusqu’à faire interpréter une chanson plus que ridicule à une chatte (si, si !) : Mon Minou tout doux (sic !).

Alors une question se pose inévitablement : à quoi pensaient les communiquants à l’origine de cette campagne ? Suivie de près par : à quoi pensaient les décisionnaires qui ont dit “oui” ? Combien la marque a-t-elle dépensé pour une vidéo qui, certes, fait le tour du web (mais pour se faire lapider), et un site qui a été mis hors ligne dès le lendemain (comme si cela suffisait à effacer toute trace de cette tôle spectaculaire) ? On imagine bien que Veet n’a pas fait appel à une bande de juniors si à l’ouest qu’ils n’avaient pas anticipé le tollé que ferait une campagne du même niveau que les pubs Fanta (qui, elles, ont au moins le mérite de plaire aux hommes).

Dès lors, on peut se demander si les marques ont réellement compris l’impact de la stratégie digitale, des réseaux sociaux, et de leurs conséquences qui peuvent être dramatiques si le discours n’est pas adapté. En effet, c’est une mauvaise estimation des risques, une ignorance totale du marketing viral ou les deux qui ont placé Veet. Car si le bad buzz fait parler de la marque, dans le cas présent il la décrédibilise avant tout et casse son image en lui en superposant une cheap, dramatiquement neuneu (n’ayons pas peur des mots).

Les responsables communication seraient-ils si peu à l’affût des multiples applications et implications du marketing viral qu’ils laissent passer de telles invraisemblances ? Une chose est certaine : avant de se lancer dans une campagne de ce type, toute marque devrait se focaliser sur différents points cruciaux :

- quelle est la cible ?

- quelle est l’image de la marque qu’on souhaite véhiculer ?

- à qui va-t-on confier la stratégie de communication ?

- jusqu’où est-on prêt à aller pour générer du buzz ?

- quel est l”univers préempté par la marque ?

Et surtout, surtout, garder une certaine lucidité sur ce qui est de bon ou de mauvais goût : une cible jeune n’est pas systématiquement stupide, les internautes ne sont pas des frustrés que la moindre allusion au sexe émoustille, les geeks voient plus loin que leur écran...

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 12:17
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Hugh Laurie va marquer ce printemps 2011. Pourquoi ? Et bien tout d’abord parce que la série culte Dr. House revient dès ce soir sur TF1. Mais ce n’est pas tout : Hugh Laurie, le médecin le plus cynique au monde, a sorti son album en France hier. C’est ce qu’on appelle faire d’une pierre deux coups.

Loin de moi l’idée de prétendre que TF1 et la maison de disques seraient de mèche, mais…

C’est tout de même ce qu’on appelle un joli coup de pub, non ? Ou alors une heureuse coïncidence, c’est selon… Il ne manquerait plus qu’un petit roman sorti de derrière les fagots (oui, parce que Mister Laurie est non seulement acteur et musicien, mais il a également un certain talent d’écriture, comme en témoigne son “Tout est sous contrôle” – que j’avoue ne pas avoir lu).

Finalement, pour un comédien qui a eu du mal à voir sa carrière décoller, Hugh Laurie a décidemment bien rattrapé son retard. Nul doute que quelques millions d’yeux seront vissés devant leur téléviseur ce soir pour suivre les aventures de l’incroyable diagnosticien accro à la Vicodine. Pour autant, les fans seront-ils tentés par l’album du sieur Laurie ?

Bien que n’ayant pas regardé TF1 dernièrement (pour cause de vacances lointaines, mais vous aurez droit au récit de mes aventures du bout du monde sous peu), je ne peux m’empêcher de penser que nouvelle saison de Dr. House + sortie de l’album du personnage principal, ce n’est pas tout à fait un hasard. Reste à savoir si la FNAC va accuser une rupture de stock préméditée ou bien se coltiner des invendus pour cause de non-transcendance d’un média à l’autre.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 17:43

C’est l’histoire de Smutley, un chat qui batifole la queue en l’air et se saute sur tout ce qui bouge : chattes, lapines, tortues, poules, otaries, et j’en passe… rien ne l’arrête et il sème sa bonne humeur (si vous me permettez) partout, donnant naissance à une descendance de lapereaux en chemin. Un grand libertin qui ne se pose pas de questions et fonce tête baissée sur le chemin de la fornication à outrance.

A première vue, rien de bien méchant, tant qu’on est entre adultes consentants.

Mais… rien ne vous a choqué dans ce petit résumé..? Vous êtes sûr..? Pas même le fait qu’il donne naissance à une portée de lapereaux..? Et non, je ne fais pas référence à l’incompatibilité génétique entre lapins et chats. Vous ne voyez toujours pas ? Et bien ce chat, s’il s’offre une descendance, c’est qu’il s’est aussi offert une dérogation de capote. La différence entre ce chat un brin obsédé et vous ? Il a neuf vies, vous n’en avez qu’une !

Un grand bravo pour ce court film d’animation qui a le mérite de traiter d’un sujet sérieux sur fond d’humour. Pour une fois qu’on ne nous sort pas les malades du SIDA en phase terminale, ni un sempiternel refrain sur les us et coutumes de l’indispensable préservatif, ça mérite qu’on applaudisse.

Car le fait est que les campagnes de prévention du SIDA sont toutes aussi ringardes les unes que les autres. C’est tout juste si on leur accorde encore un coup d’œil de temps à autre…Non, parce qu’objectivement : elles ne font que rappeler ce qui est rabâché aux collégiens depuis des années : tu mets un préservatif ou tu risques de mourir. Certes, mais ça on le savait déjà. ce qui manquait, c’était le petit truc en plus pour nous donner envie de regarder le message jusqu’au bout.

Avec mon grand âge (on va s’arrêter à trentenaire, hein, pas besoin d’entrer dans les détails), j’y ai eu droit aux conférences au lycée, aux interventions de chercheurs (oui, dans le privé, on a droit aux chercheurs pour mieux nous expliquer le pourquoi du comment du SIDA), aux campagnes qui se suivent et se ressemblent. Pour toute ma génération et celles qui suivent, elles font partie du paysage urbain. On ne les remarque pas plus qu’un panneau de sens interdit.

Alors quand on voit une animation sympa, petite vidéo virale sur fond de “Bad Reputation” rythmée, on ne peut que scruter son écran en attendant le suite des péripéties de Smutley. Et quand tombe la chute (et oui, je me le suis permis !), ça ne nous hérisse pas les poils. Le message est clair, percutant et surtout non-moralisateur. Il y en a qui ont tout pigé !

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 12:35

MalabarC’est le buzz du moment : Malabar remplace sa mascotte. le wealthy guy tendance Ken surfer, avec pecs, biceps et t-shirt jaune à la Brice de NIce laisse sa place à Mabulle, un chat à cravate jaune (on garde quand même les couleurs, faudrait viser à pas trop déstabiliser le client), lunettes (aux verres, je vous le donne en mille… jaunes!) et à la silhouette d’Aristochat du XXIème siècle.

Tollé général pour la marque qui, au lieu de s’attirer des compliments, se fait largement insulter par réseaux sociaux interposés. Récit d’une nécro…

Depuis le phénomène Gap, les marques savent pourtant bien qu’il ne faut pas jouer avec le feu et que changer de logo ou de mascotte peut relever du suicide commercial. Combien regrettent encore le départ de Groquick, jugé trop enrobé, au profit de Quicky, lapin certes avenant, mais au capital sympathie moindre que celui de son prédécesseur ?

Et Malabar qui ne prend pas de gants pour laisser toute une génération (que dis-je, plusieurs !) orpheline de son malabar favori. Pourtant, il collait bien à la tendance actuel : sain, en forme, toujours souriant, athlétique… Si ça c’est pas du politiquement correct en ces temps de “poison dans nos assiettes” et autres préoccupations de forme(s).

MabulleMais voilà : Mabulle est entré dans le paysage et la rumeur gronde. la page Facebook Malabar s’en est pris un vilain coup dans le wall, avec des insultes qui se suivent et se ressemblent (ou pas). Les adulescents refusent qu’on les estropie une fois de plus d’un symbole qui les accompagne depuis leur enfance – aspect rassurant de ce qui ne change pas. Ancré dans les esprits, Malabar ne ferait qu’une bouchée de Mabulle si seulement on lui laissait l’opportunité de se défendre.

Une erreur qui risque de coûter cher à la marque. En effet, la page officielle a été reléguée au rang de non-officielle tant les réactions ont été violentes (allez modérer tout ça, vous, c’est un job à temps complet à ce niveau, ou alors on ferme tout bonnement les commentaires). On oscille entre chat pendu et “quand y en a marre, y a Malabar, quand c’est nul, y a Mabulle”… Autant dire que les fans donnent dans l’originalité et font preuve d’une certaine imagination.

Signe d’un jeunisme grandissant, Malabar a donc choisi de délaisser toute une partie de ses fans (les vingtenaires, trentenaires et autres quadras) pour s’attaquer au marché des jeunes. Les little ones seraient plus enclins à se laisser séduire par un chat plutôt que par un malabar qu’on met en retraite anticipée sans se demander si le petit nouveau sera plus efficace. Grandeur et décadence… Moi je vote pour le retour du mec au t-shirt jaune !

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 15:59

Vous connaissiez les lapins crétins, vous passez des soirées entières à vous battre contre les personnages de Tekken ou à affronter vos amis en chant et en danse avec Singstar ou Just Dance ? Voilà un jeu d’un genre nouveau qui devrait réveiller les plus patachons d’entre vous.

Gamers d’aujourd’hui et d’hier, méfiez-vous des jeux de demain, vous pourriez bien être surpris.

Selon quelques infos, Ubisoft lancerait un jeu intitulé “We Dare”, traduit en français par “Petits flirts entre amis”. Inutile de vous faire remarquer que cela fait immanquablement penser au Truth or Dare de notre adolescence (Action ou vérité pour les francophones)…

Lancé à grands renforts de vidéo interactive dont vous êtes le héros choisissez la fin, le jeu devrait passionner plus d’un amateur de coquineries en tous genres.

Oui, bon, ça sent le fake à plein nez, mais…

… et si un tel jeu était lancé, quel public se précipiterait pour l’acheter ? Vous vous imaginez, au rayon de la FNAC, demander un jeu dont le but avoué est de se terminer en partie fine ? Parce qu’évidemment, il ne serait pas dans les rayons, entre Harry Potter et Super Mario, là où les gamins se ruent pour tenter d’arracher à leurs parents un cadeau pré ou post-Noël.

Quoiqu’il en soit, fake ou pas (non, mais sans rire, c’en est un, forcément…), ces petites vidéos qui commencent à sérieusement faire parler d’elles remettent au goût du jour les soirées libertines, et positionnent votre salon comme le nouveau club échangiste à la mode. Et, pour aller plus loin, on peut imaginer la foultitude de gadgets dérivés du jeu (pour le joueur solitaire, pour ceux qui auront déjà passé tous les niveaux) et de défis supplémentaires, tenant plus du porno trash que du romantique fun.

Alors, vous lancez les invitations à vos potes pour une spanking party chez vous ? A coup sûr, ça changera de Need for Speed

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 11:37

Chanel, c'est le luxe total : de la coupe des vêtements aux packagings des rouges à lèvres en passant par l'esthétique des publicités et le design des sacs. Mais Chanel, c'est avant tout un esprit : l'esprit d'avant-garde, celui qui fait que la marque reste, quoiqu'il arrive, toujours dans l'air du temps, cette fameuse aura si particulière instaurée par Mademoiselle Chanel et qui perdure aujourd'hui encore, plus de 100 ans après l'ouverture de la première boutique Chanel.

C'est donc tout naturellement, mais avec, néanmoins, une certaine surprise, que Chanel se propulse maison geek par le truchement d'un petit clip fichtrement bien foutu, en partenariat avec Nowness. Les produits de beauté Chanel (on en revient toujours au rouge à lèvres et fards à paupière) y sont mis en scène pour former un petit robot bien sympa aux allures de gadget nippon (ça aussi, c'est hype) mâtiné de manga en puissance.

Et hop ! d'un coup les produits Chanel ne sont plus réservé à la quadra CSP+ ou à la retraité accro aux valeurs sûres, ni à la RP (tiens, encore elle) dont la vie tourne autour de l'image (en même temps c'est son boulot - ou bien est-ce parce qu'elle est comme ça qu'elle a fini RP..?), mais met un pied chez les geekettes abonnées aux produits bio (pour contrebalancer la foultitude d'ions négatifs qu'elles émettent avec leurs iPod, iPad, MacBook et PC ultra-portables et autres PS3 à plein régime.

Chanel, égérie geek, impensable..? Pas si sûr que ça...

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 18:13

Oui, parce que Darty qui se sépare de sa camionnette (ici), c'est une chose, quand Rodolphe disparaît au profit de M. Easy, c'en est une autre. Et là, arrivée de la Freebox by Starck oblige, il fallait révolutionner l'image de Free, fournisseur d'accès internet toujours un brin en avance sur ses concurrents.


 

Rodolphe, pour ceux qui l'auraient déjà oublié, c'est ce grand échalas au look improbable qui vantait les mérites de sa Freebox : appeler toutes les destinations et en profiter pour donner des cours de français à de jeunes étrangères un peu paumées face à cet énergumène. Rodolphe et son accent à couper au couteau. Rodolphe et sa mère qu'il envoie en vacances pour un an grâce aux économies made in Free. Rodolphe et sa télé (et oui, chacun la sienne chez lui). 


 

Bref, peut-être que Rodolphe en a eu marre de jouer le grand couillon et qu'il a claqué la porte, oui bien que les publicitaires de Free sont arrivés avec le nouveau héros maison, toujours est-il que Mr. Easy a supplanté l'idole de toute une génération (si, si, il y en a qui a-do-rent Rodolphe!). 

La question, une fois de plus, se pose quant à la cible des pubs. Parce que si la pub Fanta fait marrer les mecs, elle désole les filles, et si Rodolphe plaît aux vingtenaires, les trentenaires semblent relativement hermétiques au charme de la bête... Donc, l'équipe de Free en a-t-elle conclu que, malgré tout, les djeun's ne sont pas toujours prescripteurs au sein du foyer (chéri, je ne comprends pas ton truc d'internet, là. Je te laisse t'en occuper, tu me dis où je signe?) et que ceux qu'il faut chouchouter aujourd'hui sont un poil plus vieux (pouvoir d'achat plus élevé, dopés aux nouvelles technologies, vissés à leur iPhone ou à leur BlackBerry). 

Mais, autre question qui se pose : Mr. Easy va-t-il accomplir la mission qui lui a été donnée? Parce que c'est bien joli de se dire qu'on va lâcher Rodolphe l'ingénieux, encore faut-il que Mr. Easy remplisse sa part du contrat. A première vue, les pubs sont toujours aussi décalées, avec cette fois-ce de fortes références old school qui devraient attirer un nouveau public (notamment les amateurs de films d'horreur, avec un spot qui semble tourné exprès pour eux : Michael Myers is back on track). Même le slogan a changé. Après "Il a Free, il a tout compris" (ou pas), place à "Feel free". En voilà une phrase dans l'air du temps!

Et vous, vous êtes plutôt Rodolphe ou Mr. Easy?

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 11:17

... une nouvelle pub bien ficelée et qui tranche sévèrement avec la communication habituelle de la marque. Out, donc, la camionnette bleue, rouge et jaune, et welcome le clip tendance, qu'on pourrait presque croire sorti de chez un réalisateur über-tendance. Au menu : des couleurs, du dynamisme, un son très pop et un virage à 360°.

 En effet, le contrat de confiance a semble-t-il cédé la place à une opération séduction en direction d'une clientèle plus jeune, avec des codes bien différents de ceux de ses géniteurs. On y parle tactile, interactivité, réseaux sociaux, partage. Il est bien loin, le temps où on savait qu'on s'adressait à Darty pour le service client.

Des références qui parlent donc à une génération férue de nouvelles technologies mais qui risque de laisser sur le carreau la cible habituelle de la marque. Le clip s'adresse à des technophiles, nouveaux prescripteurs au sein du foyer quand les parents abandonnent devant une offre qu'ils ne comprennent plus.

DartyBox, internet, télévision numérique et ses dizaines de chaînes, la télé de Papa est aux oubliettes et bien malheureux sont ceux qui se contentent encore de six chaînes (que dire de ceux qui n'ont jamais zappé au-delà de la troisième, qu'ils appellent encore FR3?). Désormais, on se connecte 24h/24, on chatte, on zappe, on enregistre sur disque dur (comment? mais où sont passées mes VHS?), on tweet, on like et on échange sans limite.

Le clip Darty, c'est un peu tout ça à la fois. Un fouillis sans nom pour les techniquement inadaptés, un discours aussi abstrait que le clip est créatif. Quant à la musique, signée The Phenomenal Handclap Band, elle aurait tout aussi bien sa place sur un dancefloor hype. Psychédélique et multitâche, le Darty nouveau est arrivé!

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 14:41

Barbra Streisand de Duck Sauce, je vous en ai parlé ici. Et bien histoire de célébrer l'une de nos gloires nationales, l'équipe de Tout le monde il est beau sur Canal+ a réalisé une parodie bien vue. Partant d'un morceau dont les paroles sont certes assez simples (ouhouhouhouhouhouhouhouhouhouhou, Barbra Streisand), il nous ont pondu un clip dans le même esprit que l'original, avec son lot de people, et des paroles modifiées (ça a dû être difficile, ça!) pour l'occasion. Le résultat est on ne peut plus sympa, et au final s'écoute aussi bien que l'original (non, je ne parle pas de Boney M).

 

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