Variations d'une trendsetteuse parisienne qui parle de la mode, des tendances, de l'actu, de ce qui fera ou ne fera pas les tendances de demain
J’avais décidé de passer des vacances sous l’eau mais… pas comme ça.
Retour en arrière : il y a quelques semaines, j’ai pris mon billet pour une destination de rêve : la Thaïlande. Dix jours au paradis… Après force hésitation, ma complice et moi avons choisi de passer les deux premières nuits à Bangkok, puis six sur Koh Lanta (et oui, c’est une vraie île, et non elle n’est pas réservée aux expériences de TF1 Productions), avant de revenir deux nuits sur Bangkok pour finir en beauté.
Sur le papier, tout est idyllique : les hôtels que nous avons sélectionnés, la perspective de manger de délicieux plats, des fonds marins à tomber (ce n’est pas un hasard, Koh Lanta, encore moins une adoration particulière suite à l’émission du même nom)…
Et puis…
Et puis la nouvelle est tombée : pluie diluviennes, inondations, morts, blessés, évacuation par les hélicoptères de l’armée… Tout d’un coup, les vacances de rêve semblent tourner au cauchemar. Premier réflexe : regarder la météo. Alors que le mois d’avril est supposé être le plus chaud et faire partie de la saison sèche, Phuket se retrouverait sous les orages durant tout notre séjour. Euh… L’assurance annulation, ça fonctionne en cas de mauvaise météo ?
Parce que, même si je ne souhaite pas aux thaïlandais de se faire noyer une fois de plus, il pleut, mais les aéroports sont rouverts, les ferries fonctionnent de nouveau… Pas de quoi crier à la catastrophe écologique. Au temps pour le remboursement…
Je m’envolerai donc mercredi, avec maillots de bain et combinaison de plongée, masque et palmes, et un optimisme à toute épreuve. De toute façon, la météo, ce n’est pas une science exacte… Ils se trompent toujours, non..?