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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 13:32

Que faire un mardi d’hiver quand le froid n’encourage pas à mettre le nez dehors ? On va à un cocktail, pardi !

Hier à Paris, quelques boutiques Guerlain ont été le lieu où il fallait être. C’était le jour de La petite robe noire et le champagne a coulé à flots. Du rosé, parce que c’est le champagne féminin par excellence. Un cocktail ludique avec des chorégraphies sur fond de Nancy Sinatra, tout en beauté avec les dernières collections de la marque (la Terra Cotta nouvelle est arrivée) et enrobé de fragrances magiques avec les parfums stars et les plus confidentiels.

Guerlain… Le nom est synonyme des plus grands parfums. Shalimar, Samsara, Jicky… Et maintenant La petite robe noire, jus à la cerise noire qui s’adresse plus aux jeunes filles qu’à leurs mères mais en a séduit plus d’une. Un parfum en rupture avec l’univers très oriental de la marque, mais qui impose son style.

Et rien que pour vous, voici la chorégraphie made in La petite robe noire (parce qu’il fallait bien repartir avec un souvenir en plus du gift bag !) :

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 12:56

TGIFLa semaine est passée à la vitesse de l’éclair. Mais s’il ne s’agissait que de cette semaine, tout irait bien. Non, là, ce sont deux semaines de ma vie que je n’ai pas vues passer. Deux semaines de perdues, deux semaines qui ont filé comme un étoile dans le ciel d’été (ça, c’était l’instant poétique). Elles ont pourtant été belles, ces semaines : le soleil est revenu nous donner bonne mine, les journées ont poursuivi leur pousse vers le solstice d’été et il n’y a pas eu de catastrophe naturelle.

Mais comment, donc, peut-on encore perdre ainsi ce temps précieux ? Nul cinéma, spectacle en tout genre, sortie exceptionnelle. Pas l’ombre d’une rencontre marquante, d’un contrat juteux ou d’un instant à part. L’hiver a cela de particulier qu’il ternit l’humeur. On se presse de rentrer pour ne pas se faire piquer par le froid, on se calfeutre sous un plaid pour ne pas subir les morsures de la nuit glaciale, on perd du temps en l’utilisant à ne rien faire.

Pourtant, vendredi arrive comme une bonne nouvelle : le weekend est une promesse d’autre chose. L’immense possibilité d’une exaltation passagère, l’espoir de sortir du présent ne serait-ce que le temps d’une soirée. un vendredi pas tout à fait comme les autres lorsqu’il clôt deux semaines-marathon. Alors oui : thank God, it’s Friday! Et je compte bien en profiter !

PS : pour les noceurs en mal de chaleur, un apéro tropézien est organisé ce soir à la Bastide Blanche à Paris… Je dis ça, je dis rien…

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 10:09

de Funès - tronche de vieuxSouvent on entend les séniors pester contre les djeun’s : ils ne seraient pas bien élevés, seraient mal polis, n’aurait aucun sens civique et j’en passe. Oui, à leur époque, on avait des manières et on savait se tenir. D’ailleurs, on tenait la porte, on disait “bonjour Madame” et “bonjour Monsieur”, on souriait aux gens qu’on croisait… Mais aujourd’hui - la faute aux parents qui ne pensent qu’à leur carrière et laissent la télé élever leurs gamins -, on assiste à une débauche de comportements condamnables…

Moi je ne suis pas encore sénior…

Je ne suis plus djeun’s non plus…

Mais j’ai une opinion. Qui vaut plus que celle du djeun’s aux yeux du sénior, et plus que celle du sénior aux yeux du djeun’s. Bénie soit la trentaine : tu peux enfin ouvrir ta gueule et les gens t’écoutent presque sans sourciller.

Un jour de semaine, de la pluie sur Paris, moi au chaud dans ma voiture. Les pauvres piétons qui affrontent l’ersatz d’urine de bovin (ne dit-on pas qu’il pleut comme vache qui pisse ?) me font pitié et je les laisse volontiers passer. Gentil, ce petit couple d’ados qui me fait un sourire digne d’Omar Sy (les dents des deux réunies valent celles d’Omar Sy, faut pas déconner non plus). Sympa.

Un peu plus loin, une petite vieille avec sa poussette à courses. Je m’arrête alors que le feu est vert pour moi (en même temps, elle n’en a rien à faire, elle traverse sans regarder). Pas un regard de la vieille (notez l’absence de l’adjectif “petite” qui en fait maintenant une sorcière plutôt que la mère-grand du petit chaperon rouge). Pas un sourire. Pas même un signe de tête.

Passons…

Quatre feux et douze intersections plus tard, le bilan est sans appel : le père de famille qui emmène ses gamins à l’école : il sourit ; les ados qui filent sous la pluie - probablement pour mieux sécher les cours, mais ça c’est une autre histoire - : ils remercient ; la gamine avec son cartable sur le dos : elle sourit timidement, mais elle sourit ; les séniors : ils ne t’adressent pas un signe quand ils ne te font pas carrément la gueule genre “de toute façon, je t’emmerde”.

Alors qu’on ne me parle plus de l’incivilité des jeunes et de l’époque ô combien révolue où on savait se comporter dignement. Parce que ceux-là mêmes qui râlent contre la jeunesse sont bien ceux qui ne donnent pas le bon exemple. Finalement, ce n’est peut-être pas la faute des parents démissionnaires mais celle des grands-parents à qui tout est dû...

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 18:31

Dépression hors saisonA dire vrai, même l’iPhone a peur de me donner les tendances météo des prochains jours : elles sont si mauvaises qu’il refuse tout bonnement de se mettre à jour sur Paris. Demandez-lui Rome, là, tout va bien, mais Paris, non : mise à jour impossible. Il faut dire qu’il doit craindre de passer (au choix) par la fenêtre / à la poubelle / sous un camion, dans un geste d’ultime désespoir de ma part. Ou comment ne pas accepter l’inacceptable

Nous sommes donc le 19 juin, il fait moins de 20°C et dans deux jours ce sera l’été. Welcome to another dimension. L’année où l’été a disparu… Ca pourrait être le titre d’un roman. Tiens, puisqu’on peut dire adieu aux apéros en terrasse, je m’en vais l’écrire, ça occupera sainement mes soirées pluvieuses…

Un temps à ne pas mettre un ouistiti dehors. D’ailleurs, les ouistitis ne s’y sont pas trompés : vous en voyez beaucoup dans les rues, vous ? Non, c’est bien ce que je pensais. En revanche, des gens gris, tristes, qui font la gueule rapport au temps maussade (et oui : on s’adapte), ça il y en a à foison. Tout ça va réjouir l’industrie pharmaceutique : je suis certaine que les ventes d’antidépresseurs ont largement augmenté depuis trois mois.

A vrai dire, même les shoppeuses les plus assidues semblent avoir jeté l’éponge. Les boutiques sont vides, et les soldes s’annoncent sous les meilleurs auspices : cette fois-ci, il restera de tout, dans toutes les tailles, dans toutes les couleurs. Ca va brader sévère dans les chaumières (euh, enfin dans les magasins, mais ça rimait moins bien).

Du coup, le programme de la fête de la musique risque d’être légèrement perturbé. Out les balades dans les rues au gré des cacophonies ambiantes, bonjour le bar de quartier toutes fenêtres fermées ou le coin de cheminée (vraiment, j’exagère..?). Imaginez tous ces groupes qui vont se donner un mal de chien, qui ont répété toute l’année et qui vont se retrouver à jouer devant tante Clothilde et cousin Valérien. Pas gai, tout ça.

Nous voilà donc doomed (l’expression anglophone est tellement plus parlante que notre “condamnés”) à ruminer sous la pluie, à broyer du noir sous les nuages (de même couleur) et à ne pouvoir que se réjouir à l’avance des vacances qui approchent. Ah, vous ne partez pas ? Condoléances

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 15:30

Merci Facebook, merci les copines qui partagent des images drôles, en voici une qui n’a pas manqué de me faire sourire et d’égayer ma pitoyable journée au bureau. Pitoyable parce que les giboulées en juin ça commence à faire long et un peu trop décalé pour moi. Pitoyable parce que quand il fait quasiment nuit à 15h, on a plus envie d’aller se lover sur son canapé, enroulée dans un plaid que de rester rivée à son écran. Vous me direz : quand il fait grand soleil, on a plus envie de se coller en terrasse, comme quoi c’est à se demander s’il y a vraiment un temps pour travailler

Toute à mes réflexions sur la météo idéale pour augmenter la productivité au bureau (je dois pouvoir vous pondre une étude là-dessus, mais seulement au bord d’une piscine en sirotant un cocktail, rapport au besoin d’inspiration et de recul par rapport à la problématique), je suis tombée nez à nez avec ça :

Dyslexia

Allez, souriez, vous êtes filmés (si, si, regardez bien votre webcam : elle s’est activée)

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 16:00

Le dimanche soir c’est ciné à Paname sur Seine. Oui, le parisien a ses rituels et le ciné du dimanche en fait partie. Et que fait le parisien entre le moment où il achète ses billets de cinéma et celui où il entre dans le cinéma (oui, il arrive au parisien d’être en avance) ? Et bien, comme il est sur les Champs-Elysées il va faire un tour dans les boutiques. Et comme il aime tout ce qui est régressif au possible, il va au Disney Store admirer les tenues de fée (pour les filles) et de pirates (pour les garçons – à moins que ce ne soit l’inverse, sait-on jamais).

Mais voilà : force est de constater que les choses ont bien changé et que Disney n’est plus vraiment Disney. Ne serait-ce que parce que Disney s’est accaparé un nombre de trucs incroyables qui ne sont PAS Disney (suivez mon regard qui se dirige droit vers Kermitt…). Ajoutons à cela des versions made in Mickey Mouse de tubes Hello Kitty-esques et vous verrez qu’une Disney store est, plus que jamais, une gigantesque fraude.

Bref…

Dans tout ce mic-mac décevant, il se trouve toutefois quelques objets qui méritent le détour. Certains parce qu’ils sont vraiment trop choupinets (ça doit être l’horloge biologique, pardonnez-moi mes errances). D’autres parce qu’ils semblent parfaitement déplacés. Comme ces deux poupées Mickey et Minnie. le duo le plus représentatif de l’univers enfantin de base est passé du côté obscur de la force et aurait volontiers sa place dans un sex shop tokyoïte (sont toujours un peu borderline niveau sex toys, les nippons). A vrai dire, je me suis même demandé s’il n’y avait pas eu erreur de merchandising, de livraison ou les deux…

Mickey and Minnie porn starsDisney porn

Fallait prévenir qu’ils avaient un rayon jouets pour adultes chez Mickey ! Et maintenant imaginez un peu les déclinaisons des contes de fées

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 17:50

Virgin RoadNon, ce n’est pas une blague. Au rayon sex toys, les nouveaux venus japonais s’adressent aux hommes qui cherchent des sexes à déflorer. L’histoire a des racines quelque peu “culturelles” : au Japon, il est dit que les vierges apportent une énergie incroyable qu’elles transmettent à l’homme qui les déflore. Inutile dès lors d’aller chercher bien loin la justification nécessaire à la mise en vente de ces sex toys d’un genre nouveau qui se répandent dans les sex shops nippons.

Des vagins artificiels vierges, des packagings évocateurs avec des jeunes filles à l’air innocent, des baselines qui en disent long… Le marché des vierges de substitution semble avoir de beaux jours devant lui. Alors que l’arrivée du Tenga nous affolait un peu l’instinct de conservation (comment lutter contre un sex toy qui ne dit rien, n’a jamais la migraine, ne râle pas contre le foot et n’a jamais d’urgence “copine en détresse en plein coup de blues”..?), ces nouveaux jouets risquent d’augmenter d’un cran le niveau de la bataille. A eux les vierges de plastique, à nous les rabbit magiques multi-vitesses qui ne lâchent qu’avec les piles.

Les soirées de demain s’annoncent plutôt folichonnes. Imaginez plutôt : d’un côté les hommes et leurs vulves de pucelles, de l’autre les femmes et leurs boules de geisha télécommandées. Au final, elles pourront presque faire préparer le dîner et s’offrir un orgasme en simultané pendant que monsieur cumulera match de foot et dépucelage “sex toyesque”. C’est beau, le progrès.

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 17:22

Je vous ai déjà parlé des produits Kiehl’s que j’aime particulièrement. Si je ne vous ai pas encore fait un topo concernant tous mes coups de cœur de cette marque (ça viendra, ne vous en faites pas, surtout que, si vous ne l’avez pas encore remarqué, une toute nouvelle rubrique a vu le jour : “Absolutely gorgeous”, consacrée, je vous le donne en mille, à la beauté), je vais, une fois de plus, leur faire un compliment.

Mot Kiehls“Leur” ? Oui, leur. Aux spécialistes Kiehl’s de la rue du Commerce, boutique fraîchement ouverte dont j’ai eu l’honneur d’être la première cliente. Tout d’abord parce qu’ils sont absolument adorables, même s’ils prétendent qu’ils ne “font que leur travail”. Si tous les commerçants pouvaient faire leur travail comme ça, le shopping serait bien plus sympa. Ensuite, parce qu’ils sont d’excellent conseil (la Midnight Recovery Eyes, c’est grâce à Bruno que je l’utilise chaque soir et, après plus d’un mois d’utilisation, je vois la différence : exit les yeux bouffis le matin, welcome le regard frais, n’en déplaise aux sceptiques qui me répètent que c’est dans la tête. Accessoirement, même si c’est dans la tête, ça fonctionne, alors j’achète). Enfin, parce qu’ils sont attentionnés. Preuve en est ce petit mot reçu par courrier. Un petit mot manuscrit (oui, chez Kiehl’s ils font partie de cette partie de la population qui sait encore se servir d’un stylo). Pas une photocop’ envoyée à toutes leurs clientes. Non, un petit mot rien que pour moi. Une attention à laquelle j’ai été sensible et qui st suffisamment rare pour qu’on la remarque.

Alors oui, c’est aussi ça, Kiehl’s : des conseillers qui prennent soin de vous et vous portent une attention particulière. Vous avez encore des doutes..?

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 16:19

Petite discussion en famille la semaine dernière sur le thème des féminins/masculins dans la langue française. Et, visiblement, il y a des lacunes.

  • Masculin femininQuel est le féminin d’homme ?
    • Femme
  • Quel est le féminin d’époux ?
    • Epouse
  • Et quel est le féminin de mari ?
    • euh… ben oui, c’est bien ça : bonniche !!!

 

Ca devrait plaire aux chiennes de garde, ça, tiens. Vous allez voir que je vais me faire aboyer dessus, taxer de vieille chouette rétrograde, j’en passe et des meilleures. Mais le fait est que non, le féminin de mari n’existe pas. En même temps, vous conviendrez que mari c’est bien moins joli qu’époux… Je milite pour le retour aux jolis mots, à la séduction épistolaire, aux termes désuets et si foutrement romantiques !

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 16:31

C'est la Saint-ValentinMardi prochain, on remet ça : les amoureux seront obligés de l’être, les autres resteront sur le carreaux. Non pas que le Vichy soit de mise (on serait plutôt dans l’imprimé cœurs), mais voilà : comme chaque année, les couples seront à l’honneur, les célibataires devront brandir l’étendard de leur liberté qui tout d’un coup prendra le poids d’une croix difficile à porter. Saint-Valentin is in da place !

Quel joyeux drille, ce Valentin ! Toujours là pour nous rappeler que l’avenir, c’est le couple. Le présent aussi d’ailleurs, mais vous pouvez oublier le passé : il est trop tard. Valentin, c’est le gars propulsé saint par l’église pour donner une excuse au batifolage sans procréation obligatoire une fois par an. Une espèce d’opportuniste qui a le beau rôle : il fait appel à la nature humaine et lui donne l’autorisation (un peu en vous forçant la main tout de même) de céder à ses pulsions sans craindre les flammes de l’enfer. Finaud d’avoir utilisé une faille religieuse. Il la mérite, son auréole !

Revenons à nos cœurs par milliers

Pas d’amoureux ? Pas grave, donnez le change en vous en payant un sur Facebook. Si le service existe déjà pour ces messieurs, il y a fort à parier que les demoiselles en marge de leurs copines / sœurs / cousines / etc. opteront pour cette solution simple : se payer un amoureux histoire de traverser l’orage. Et puis, c’est pratique, Facebook : un clic et tout le monde est au courant. Au mouroir les réflexions tendancieuses et accusatrices (comme si on le faisait exprès) !

Mardi 14 février, vous êtes priés de vous joindre à tous les amoureux pas rassurés pour la grand-messe annuelle des cœurs perdus mais plus à prendre. Un collège d’esprits communiant dans l’amour de l’autre (sic !). On dirait une secte. Entrez en religion et rejoignez les saints amoureux. Imaginez un peu cette orgie d’amour pur et chaste (oui, on a dit “saints”). Tout bonnement démoniaque !

Et si vous ne pouvez rejoindre le mouvement avec votre moitié (parce que non, malgré tous les conseils bien intentionnés qu’on a pu vous prodiguer, vous n’en avez pas), il ne vous reste qu’à trouver vos tiers, quarts ou cinquièmes. C’est l’alternative “girly” de cette édition 2012. Chez MyLittleParis, on vous propose de gagner un tea time de luxe pour deux dans un grand hôtel. Alléchant pour les couples (il)légitimes. Et si on n’a pas d’amoureux ? Pas de souci : les parias n’ont pas leur place ici et vous pouvez venir entre copines. C’est l’effet Valentines+++.

Et là, je vais faire plaisir à tous mes copains : l’amour entre filles, y a qu’ça d’vrai !

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